قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الثلاثاء, 26 تموز/يوليو 2016 14:51

A Volterra l'inconnu 2

كتبه  Afaf Aniba
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- Bonjour Richard ! Je ne devrais pas te déranger, je sais. Cependant, dans ton départ précipité, tu as oublié de m’instruire de l’affaire Malcom. Harvey Conte est là, que devrais-je lui dire? Fit la voix claire de Frank Rebowld.

Le jeune avocat bostonien répondit :

- J’ai laissé un pli à son intention à la garde de Margareth Kofner. Tu n’as qu’a le renvoyer vers elle. Pour le reste, il est libre de décider des démarches à suivre et nous en aviser bien sûr. Est-ce tout ?

- Oui, Fit son ami. Au ton de ta voix, je présume que tu as le cafard. L’hiver à Volterra est-il si déprimant ?

- Pas du tout, nia Richard.

- Je ne te retiendrai pas plus ! Ah oui ! J’allais oublier de te le signaler. Il y’a une carte arrivée dans ton courrier au bureau. Jai pris la liberté de te la faire suivre à ton hôtel ! au revoir !

Il raccrocha tout de suite. Kent n’eut pas ainsi le temps de lui demander le nom de l’expéditeur de la carte. Reposant le récepteur, il réfléchit debout, les mains dans les poches de son pantalon. « Qu’est ce qui me prend tout à coup ? Etre là en pleine neige à une saison où je ne suis jamais venu auparavant. Seul, abandonné ! et ce poids qui me pèse et m’étrangle. Frank a parlé du cafard. Il aurait mieux vallu qu’il use d’un autre terme comme désarmé ! » Stupéfait, il se répéta à mi-voix :

- Désarmé… !!

A la place de l’écho, il entendit le crépitement du feu dans l’âtre de l’énorme cheminée romaine. Il fit quelques pas en direction d’une haute fenêtre, à l’embrasure occupée par une banquette gainée de tissu d’un rouge pourpre. S’asseyant, il jeta un regard distrait au-dehors. La neige avait recommencé à tomber, moutonnant les trottoirs et les arbres du parc Esselsso. « Pourquoi désarmé ? » Se dit –il. Une silhouette dans la rue traversa son champs de vision. Il sursauta : c’était la dame inconnue du restaurant. Se redressant sur la banquette, il tenta d’ouvrir l’espagnolette. L’air froid et pénétrant de décembre envahit la grande pièce. Passant la tête à travers l’embrasure, il chercha l’ombre en vain. Il vit seulement le jeune adolescent qui l’accompagnait, debout sur le perron de l’hôtel et qui eut vite fait de disparaître à l’intérieur. La neige l’arracha à sa mélancolie. Frissonnant, il recula en refermant les volets. « Elle a la démarche de Paolina. Comme c’est bizarre ! » songeat-il.

Ramenant les rideaux de brocart, il se glissa dans un canapé devant le feu. La partie vide du canapé créa soudain une illusion en s’emplissant : Paolina et ses longues mains repliés sur ses genoux l’examinait du coin de l’œil : « Tu es partie sans explication et je ne puis comprendre jusqu'à présent les raisons qui t’ont conduit à demander le divorce ? » Fit-il d’une voix douleureusement retenue. Il n’obtint aucune réponse, le fantôme l’observait avec un regard muet, inexpressif !

Les dernières paroles de Paolina l’avait anihilé. Sa voix avait résonné dans le combiné tel un coup de feu :

- Libère-moi de mon sermon, je ne suis plus sur ton parcours !

Une demie-heure plus tard, un remorqueur écrasait sa voiture à la sortie du pont Gateway. L’emprise du silence dés lors était devenue insupportable. Durant quatre interminables années, il avait lutté dans la solitude âpre de son chagrin. Son armure vola en éclat deux semaines plus tôt ; sa patience mise à rud épreuve par une pénible affaire de divorce, il décida un arrêt immédiat de ses activités et rapidement il avait réservé son billet et une suite à l’hôtel Pallazzo Delle Fontenello, fuyant Boston et ses bureaux. Ses yeux cherchérent le visage au teint de miel de Paolina. Le côté du canapé tantôt empli était à présent désespérément vide. La chaleur du foyer réchauffait ses membres engourdis par une longue immobilité. Il pensa à l’heure :

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