قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
السبت, 29 تشرين1/أكتوير 2016 10:25

Fondaco dei Turchi 18

كتبه  Afaf Aniba
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Le jeune homme à ses paroles se tourna à demi vers sa parente par alliance, elle lut dans son regard la stupéfaction :

-Je ne suis pas superficielle, j’aime aller au fond des choses.

Lui dit-elle.

-Tâche de conserver cette profondeur d’esprit. Se contenta t-il de dire.

-Est-ce à dire que mon raisonnement est juste ?L’interrogeat-elle.

A nouveau le silence, elle acquit la certitude que pour rien au monde il ne desserrera la bouche. Elle finit par se murmurer :

-Il est vrai que je me mêle de ce qui ne me regarde pas.

Debout, la silhouette balayée par le vent il ne l’avait pas entendu.

Le lendemain Selma Omarti repartit à l’Arsenal, Mustapha Fitnaz l’avait pourvue du renseignement voulue. Munie du premier plan de construction du Fondaco, elle priait que Francesco Galbi ait réussit de son côté à obtenir le second plan de construction, le cœur battant la chamade elle tenait le gouvernail de la vedette qu’elle avait loué la veille.  Glissant prudemment entre les embarcations qui envahissait les canaux en ce début de matinée, approchant du quai donnant accès au dépôt, elle vit Galbi en conversation avec un inconnu :« Qui est-ce ? »Se demanda t-elle en se souvenant de la personne qui était entrée dans le Fondaco à sa suite la première fois où elle l'avait visitée seule.

Elle aurait voulu redoubler de vitesse pour mieux apercevoir l’homme, seulement elle devait ralentir pour pouvoir se ranger tout au long de la rive. En atteignant le quai, elle leva la tête vivement. Trop tard l’inconnu avait disparu ! Seul, Francesco vint au devant d’elle, il tint à attacher l’amarre de son embarcation, elle faillit l’interroger car elle avait le sentiment qu’elle avait déjà vue auparavant  l’inconnu. Elle se retint : « Ce serait indiscret de ma part. » Se dit-elle.

Francesco Galbi dit :

-Bonjourno signorina, comme promis voici la copie que je vous ai promis hier.   

Contente, elle prit le plan que lui tendait le jeune homme :

-Vous avez ma plus sincére gratitude Mr Galbi, fit-elle le ton sincère.

Il s’offrit à l’aider à achever  les rangements commencés la veille.

-Non merci, je préfèrerai les faire toute seule. Dit-elle.

Il n’insista pas :

-Néanmoins je vais rester dans les environs, cet endroit est peu sûr, je m’en irais quand vous serez repartie. Déclarat-il.

Selma Omarti louant son esprit chevaleresque, fit :

-Que Dieu vous garde monsieur.

Il s’éloigna. En pénétrant  le dépôt,  elle rangea les deux plans de construction dans son sac, à l’hôtel elle aurait tout le loisir de les examiner. Pendant une heure et demi ayant réussi à séparer les meubles les uns des autres pour se référer à la description du décor intérieure du Fondaco, elle commença à recomposer le contenu des pièces du Fondaco.

Peu a peu l’ensemble s’ordonna, son intérêt se concentra sur une pièce, celle qu’occupait son arrière arrière grand-père Selim Pasha lors de ses visites à Venise, ses meubles étaient modestes, un lit à baldaquin, une minuscule commode, un tabouret, un armoire qui épousait les lignes du lit, une aiguière en cuivre, et c’était tout, certainement un tapis devait recouvrir le sol de la chambre mais celui-ci n’avait pas été conservé, sous l’effet du temps il serait tombé en poussière.

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