-Selim Pasha ne peut nous avoir légué un bien tout en sachant qu’une partie de lui si minime qu’elle soit ira aux Vénitiens. Objecta sa sœur.
-Nous ignorons encore tout à propos de son legs. Observa Murad.
-Il faut acquérir tout le legs Murad, ceci est sa volonté propre mentionné dans son testament. Argua Selma.
-Eh bien ! Une fois, sachant à quoi nous en tenir, nous agirons en connaissance de cause. Répliqua l’avocat Turc.
A cet instant Travieti les rejoignit, il était porteur d’une lourde boîte à outils et d’un gros paquet :
-Ceci est votre repas, j’ai pris la liberté d’appeler Tavernardi, il nous recevra à deux heures tapante. Il est onze heure passée pour votre information. Leur annonça t-il.
-Grand merci pr, vous pouvez rentrer chez vous si vous voulez, nous passerons vous prendre un quart- d’heure avant le rendez-vous ?
-Cela me va mon enfant .Lui répondit le vieil historien.
L’historien s’en alla, Murad proposa :
-Mangeons d’abord.
Elle accepta, le repas sommaire atténua légèrement de leur faim :
-Et maintenant ?
-Nous devons laisser quelqu’un ici, ce sera un ou des gardiens de la municipalité.
-Ensuite ?
-Avant tout, je dois aller apporter la caméra pour immortaliser le moment et fournir un témoignage imagée de la découverte, mais en attendant commence à piocher, anticipe un peu du travail qui nous attends et de mon côté, je vais me dépêcher. Assura la jeune Turque.
-Comme tu veux.
Dans l’appartement, elle prit une douche rapide. Puis prenant, le téléphone fixe, elle appela l’ambassade Turque à Rome, monsieur Hakim Pezrat e conseiller culturel lui répondit, il l’écouta attentivement :
-Quelle heure est-il ? S’enquit-il.
-Il est presque midi moins quart .
-Dans deux heures avec l’aide de Dieu, je serais là, je connais l’endroit. Lui dit-il promptement.