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الجمعة, 14 نيسان/أبريل 2017 17:19

Fondaco dei Turchi 65

كتبه  Afaf Aniba
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Travieti fit :

-C’est à vous que revient l’honneur d’ouvrir le coffre, Selma.

Il  prit la caméra de ses mains :

-Je vais vous filmer dés que vous relèverez le couvercle.

Paralysée par l‘émotion, elle du se secouer. En se plantant devant l’objet pesant, elle prit une longue inspiration puis tout en allongeant le bras vers le battant de cuivre, elle se dit en son for intérieur « Au Nom de Dieu le Miséricordieux le Tout Miséricordieux. »

Elle s’était saisie du couvercle et du le soutenir avec ses deux mains, le relevant doucement elle regarda l’espace qui se dévoilait au-dessous. Très émue,  Selma n’aperçut rien au prime abord, ensuite sa vision embrouillée redevint normale : 

-Oh Mon Dieu ! S’exclama-t-elle.

Là, dans le coffre était posé côte à côte un grand coffret de bois précieux marqueté de Turquoise, deux  pochettes de velours l’une noire l’autre bleu nuit incrustés de nacre et huit grosse bourses de daim noir.

 Se redressant, Selma Omarti dit la voix frémissante :

-Nous devons ouvrir les pochettes en premier, ai- je votre consentement  monsieur Damiano ? Dit-elle les yeux tournés vers le conseiller juridique.

Celui-ci donna son assentiment. La main sur la première pochette, elle délia le cordon de soie qui la retenait, deux parchemins  glissèrent entre ses doigts, elle déchiffra l’écriture sur l’un d’eux :

-C’est écrit en  Osmanli.

-Pouvez-les lire ?

-Oui.

Elle parcourut lentement le premier message. Relevant la tête, elle donna la seconde pochette à monsieur Damiano :

-Ceci est à vous, mon ancêtre l’a destiné à une autorité de la ville de Venise. Expliquat-elle.

-Que dit-il ? S’enquit Octé.

-Je dois d’abord voir le second document. Fit la Turque, ce qu’elle fit, de son côté le représentant de la municipalité déliait la pochette et eut dans sa main un autre parchemin qu’il commença à lire, tous guettaient de lui et d’elle du nouveau. 

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