قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الجمعة, 21 تموز/يوليو 2017 18:47

Fondaco dei Turchi 93

كتبه  Afaf Aniba
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Les Travieti les reçurent à bras ouvert. Giovanni avec sa femme remarquant la lassitude de Selma firent en sorte de la détendre et le vieux professeur d’histoire raconta quantité d’anecdote sur ses étudiants et sur les années de professorat qu’il avait mené dans nombre d’université Italienne et Européenne. A la fin de leur visite, Murad exprima en aparté au vieil homme sa profonde gratitude : « Selma repart avec une meilleure mine grâce à vous et madame votre épouse » Lui confia-t-il.

De retour à San Giorgio, Selma dormit trois heures d’affilés. En s’éveillant, elle se sentit mieux. Elle s’habilla et rejoignit Murad :

-On va se promener dans Venise et puis on ira au rendez-vous de Fauden, qu’en dis-tu ? Lui proposa t-il.

-Ok.

Durant une heure, les deux jeunes gens firent le tour des rios de la ville, la piazza San Marco, ses campo, ses palazzo, ses pontile, ses muséo  et ses riva.

En se dirigeant vers le lieu où elle devait rencontrer le président de ACPI, Selma sentit son rythme cardiaque s’accélérer :

-Est-ce que tu vas bien ? Fit Murad en l’aidant à mettre pied à terre, elle acquiesça. Le bureau de Fauden ouvrait sur une terrasse. Aimable, il les invita à s’asseoir tout en s’enquérant de ce qu’ils voulaient boire. Murad s’était promis d’assister à l’entrevue en observant le silence. Il vit leur interlocuteur s’adressait à sa sœur :

-Vous devez avoir pris connaissance de notre déclaration publique en ce qui concerne le trésor de Selim Pasha signorina.

-C’est pourquoi, je suis ici monsieur. Répliqua la jeune femme.  

L’homme apprécia son franc parler :

-Eh bien ! Je voudrais connaître votre avis à ce sujet. Fit-il.

-Je vais parler sans détour monsieur, le trésor de Selim Pasha est celui de notre ancêtre. Là-dessus il n’y a aucun doute sur son appartenance ; sommes-nous d’accords ?

Il hocha la tête, elle reprit :

- A mes frais, j’ai engagé les recherches et je dois dire que je ne savais pas du tout sur quoi j’allais tomber. Passons, tous les dépenses que m’a occasionné la découverte de ce coffre je l’ai assumé au nom de ma famille, sommes-nous d’accords monsieur ?

Pour la seconde fois, il l’approuva :

-Le testament de Selim Pasha  destinait dans le contenu du coffre quatre des huit bourses à la municipalité de Venise, il savait que le fondaco allait redevenir propriété de Venise et il a prévu cela en veillant  que sa part soit garanti, oui ou non monsieur ?

L’homme fit d’une voix claire :

-Oui et non.

-Que voulez-vous dire ? S’enquit-elle.

oman et son transport à Sa, Girme et de là vers Istamboul.o en attendant qu'alla au Fondaco ,Murad était aller retrouver Eduard-Je veux dire ceci, le testament de monsieur votre ancêtre comporte d’autres clauses, nous avons appris qu’il vous a léguée une terre en Australie. Son entreprise a eu pour point de départ et d’arrivée la république de Venise, jusqu'à l’enregistrement de la terre s’est fait dans nos murs. Pourquoi devrions-nous alors se contenter de la part que nous a laisser Selim Pasha ?Il savait pertinemment qu’il n’aurait jamais pu mener une telle exploration vers une  terre aussi reculé de son pays et en la menant de notre ville et avec un vaisseau Italien et un équipage Italien à 60% commandé par un capitaine Hollandais, il avait toutes les chances d’atteindre son objectif. N’est-il pas normal que nous réclamons une grande part et pourquoi pas tout le trésor pour nous ? Expliqua le ton égal Fauden.

Murad avait frémit devant les exigences de l’homme, il regarda Selma. Il était prêt à l’épauler si besoin. 

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