قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

image-home

لنكتب أحرفا من النور،quot لنستخرج كنوزا من المعرفة و الإبداع و العلم و الأفكار

الأديبــــة عفــــاف عنيبـــة

السيـــرة الذاتيـــةالسيـــرة الذاتيـــة

أخبـــار ونشـــاطـــاتأخبـــار ونشـــاطـــات 

اصــــدارات الكـــــاتبــةاصــــدارات الكـــــاتبــة

تـــواصـــل معنــــــاتـــواصـــل معنــــــا


تابعنا على شبـكات التواصـل الاجتماعيـة

 twitterlinkedinflickrfacebook   googleplus  


إبحـث في الموقـع ...

  1. أحدث التعليــقات
  2. الأكثــر تعليقا

ألبــــوم الصــــور

e12988e3c24d1d14f82d448fcde4aff2 

مواقــع مفيـــدة

rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الإثنين, 11 أيلول/سبتمبر 2017 18:03

Fondaco dei Turchi 102

كتبه  Afaf Aniba
قيم الموضوع
(0 أصوات)

L’appel prit fin, elle se levait pour boire de l’eau, et du se raviser le téléphone de la chambre résonna :

-Allo ici Omarti.

-C’est Pezrat.

-Oui monsieur ?

-Des journalistes Turcs sont ici et ils veulent vous voir. Fit l’attaché de presse.

-Combien sont-ils ?

- Trois.

-Bien, je les attends au salon de notre hôtel, merci monsieur.

-Bien, au revoir.

Elle oublia l’eau et s’assit devant son laptop, rédigea en vingt minutes un récit complet de leur séjour en Italie, elle venait de mettre un point final à la dernière ligne quand à nouveau le téléphone sonna :

-Allo ! Bonsoir signorina ici la réception, il y a là des journalites Turcs qui veulent s’entretenir avec vous.

-J’arrive,merci.

Elle noua autour de la tête et du cou une écharpe et porteuse de deux disquettes elle prit l’ascenceur, en bas et en passant devant la réception, elle fut arrêté par un employé :

-Une minute, je vous prie, signorina.

-Oui ? Fit-elle en s’avançant.

-Il y a un monsieur qui veut vous voir, voici sa carte de visite, il est dans un angle isolé du salon.

-Je verrais. Dit-elle en regardant le nom et la qualité de l’inconnu : Gerardino Cotto avocat.

Dans le salon, elle vit des hommes se lever à sa vue. Elle se dirigea vers eux :

- Ravi de vous voir mademoiselle Omarti, je m’appelle Najded Koruzi et notre photographe Ismael Suribs de Turquiya Today et mon confrère de Ankara City Hassib Berven.Fit le reporter de Turkiya Today.

-Asseyez-vous, je vous prie. Fit-elle.

Confortablement installés, elle devança les hommes de presse :

- Messieurs, j’ai prolongée mon séjour en Italie, donc je ne peux donner aucune interview.

Najded Koruzi fit le ton conciliant :

-Que proposez-vous mademoiselle ?

-Ceci. Dit-elle en leur tendant les disquettes :

-Vous pouvez publier cela sur les colonnes de vos journaux,  je vous ai fournie un rapport fidèle dés notre arrivée en Italie jusqu'à l’heure présente.

-Excellent. Opina Hassib Berven, cependant peut-on parler avec vous de votre état d’âme depuis que vous ayez entrepris ces investigations, nous noterons vos impressions propres sans faire la moindre allusion à la tournure qu’a prise votre découverte ?

-Me promettez-vous de vous rapporter strictement à ce que je vais vous dire ?

Les journalistes furent catégoriques. Sur ses gardes, elle  livra ses pensés en s’attardant sur la spirale des coincidences qui concourirent à la découverte. Une demi heure plus tard, elle concluait :

- Je suis parti d’un fait, de m’attendre à tout.

-Nous vous remercions pour votre coopération cordiale, peut-on prendre des photos ?

-Non.

-Nous en aurons besoin pour compléter votre travail. Remarqua Koruzi.

-Désolée, c’est toujours non.

-Bon, on se retire. Bonne chance mademoiselle Omarti.

-Merci messieurs.

Les journalistes partis, Selma entendit une voix d’homme s’adressait à elle :

-Bonsoir, Signorina Omarti.

Faisant volte-face, elle se trouva devant un homme d’une quarantaine d’année, les cheveux légerement grisonnants à la mine avenante :

-Bonsoir maître Cotto.

-Voulez-vous qu’on s’asseoit dans ce coin ?

Elle le suivit, prit place et attendit  :

-Vous devez vous demander la raison de ma présence.

Elle ne répondit pas :

- Je suis le conseiller juridique de Fabiello Grinaldi, le connaissez-vous ?

-Non.   

-Grinaldi est monsieur communication en Italie.

-Ah !

- Il s’est proposé il y a six mois de racheter le fondaco dei Turchi à la municipalité, ces messieurs de la mairie ont temporisés, aujourd’hui il apprend qu’un trésor a été déterré dans le fondaco et qu’un projet municipal devrait être voté pour le transformer en musée Vénito Ottoman.

-En effet. Confirmat-elle.

-Monsieur Grinaldi est en droit de se poser comme acquéreur du fondaco.

Elle ne dit rien :

- Dans le cas ou le projet du groupe Osallo ne passe pas, nous nous chargerons de le racheter. Expliqua l’avocat.

-En quoi cela me regarde votre projet monsieur ?

Cotto fixant un bref instant la jeune femme fit le ton net :

- Nous voulons savoir jusqu’où êtes-vous intéressée par le projet Osallo ?

- Je tiens par-dessus tout à avoir un endroit à Venise pour rassembler tout ce qui a trait aux relations Vénito Ottomanes et le Fondaco est l’endroit idéal.

-Merci pour votre clarté signorina. Fit l’avocat prévenu.

Elle se leva :

-Ne voulez-vous pas prendre un rafraichissement ? Lui demanda t-il.

-Non merci, au revoir maître.

-Au plaisir, signorina.

Elle remonta à son aile, faisant ses ablutions elle fit la prière Del Asr, puis demeurant assise sur le tapis de prière, elle se perdit dans ses pensées. Elle du s’arracher au son de la puce de communication :

- Signorina Omarti, bonjour.

-Bonjour maître Abrini. Fit-elle prompte.

-Murad n’a pas répondu à mes appels, je m’adresse à vous, comment allez-vous ?

-Bien, nous arrivons demain avec l’aide de Dieu, que puis-je faire ?

-Je voudrais une copie du testament de votre ancêtre, et les ayant droit au trèsor  ?

-Pour le testament, je vous envoie maintenant une copie pour le reste, vous devez patienter à demain. Je dois contacter le bureau d’étude qui représente les intérêts de la famille à Omarti.

-Bien.

-Est-ce tout ?

-Oui, puisque vous serez là demain.

-Dites-moi qui est Fabiello Grinaldi ? L’interrogea Selma.

-Un grand faiseur d’histoire, à lui seul il détient 40% de l’espace audio visuel et 35 % de la presse écrite.

-Que voulez-vous dire monsieur ?

-Grinaldi es quelqu’un pour qui tout est matière à spectacle. Quand il a une idée en tête, il part littéralement en croisade pour la réaliser. Annonça le jeune homme.

Un silence se fit :

-Avez-vous eu affaire à lui ? Lui demanda Abrini.

-Pas directement, il m’a délégué son avocat pour connaître le fond de ma pensée en ce qui concerne le futur du Fondaco.

-S’il veut l’avoir, attendons nous à un combat serré avec lui. Dit le jeune Milanais.

-A demain maître.

-Au revoir.

Elle dégrafa sa puce de communication « Je n’en peux plus, heureusement que ce soir nous dînons dehors. » se dit-elle.

قراءة 1339 مرات آخر تعديل على الجمعة, 22 أيلول/سبتمبر 2017 06:34
المزيد في هذه الفئة : « Fondaco Dei Turchi 101 Fondaco dei Turchi 103 »

أضف تعليق


كود امني
تحديث