Quand le candidat Mr Donald Trump a remporté les élections présidentielles face à la candidate démocrate Mme Hillary Clinton, je me suis dit :

Voilà un homme qui a réussit la gageure à se faire élire malgré l’opposition de l’establishment Américain et les requins de Washington.

Durant les élections présidentielles américaines, je ne me suis pas du tout intéressée au candidat Trump, j’avais focalisée toute mon attention sur la campagne de Mme Clinton.

Pour moi, il était impératif qu’une femme soit présidente aux Usa, mais je suivais de près le parcours de Mme Ivanka Trump, la fille de Donald Trump n’était pas une femme ordinaire, je la découvrais. Quant à son père j’avais une bonne connaissance de son cv parce que je suivais son activité depuis la fin des années 80, Donald Trump n’était pas un inconnu pour moi. Et contrairement à l’image véhiculée par les médias Américains de lui, c’est un homme du show-biz à la hauteur de son travail, et c’est un bon père de famille pour ses enfants et sous le vernis de l’homme aux mœurs douteuses et au langage de rue, c’est un conservateur Américain épris de cet esprit des sudistes américains qui fait que c’est l’homme qui est maître chez lui et en dehors.

Généralement les nouveaux venus à la White House souffrent d’une grave lacune, ils n’ont pas une bonne connaissance des dossiers de la politique étrangère et c’est les différents lobbies qui président à la destinée de la politique étrangère, comme le lobby Aipac le lobby des Emirats et le lobby de l’Arabie Séoudite, et généralement les présidents américains  confient cette tâche à des supers conseillers, mais pour le tandem Trump Pence, la donne a quelque peu changé.

Trump et Pence avait déjà une vision claire de ce que devrait être le leadership Américain « make great America again » s’imbrigue dans une double perspective, moins d’engagement à l’extérieur tout en assurant la présence prépondérante de la suprématie Américaine et une attention soutenue avec une action concrète pour l’intérieur.

Très vite, Trump avait compris qu’en faisant le ménage à l’intérieur, il pourrait réussir à activer un rôle plus efficient à l’extérieur, lui et Pence ont un mépris souverain pour tous ce qui est réglementation international et voient dans la mondialisation le danger suprême qui  a nuit plus que tout au peuple Américain.

Que font-ils ? Ils déléguent au président Poutine certaines des prérogatives du leadership Américain, le dossier Syrien, Isis et quant  au dossier de la Palestine, Mr Trump a cette vision que partage entièrement Jared Kushner son beau-fils :

Les Arabes sont des monstres et pour cause ils s’entretuent entre eux et selon le concept judéo-chrétien Israël est une prophétie qui doit se réaliser et comme ils sont tous deux croyants, ils défendent  becs et ongles le droit d’Israël à perdurer.

Ayant une idée de la politique de ses prédécesseurs dans le dossier Palestinien, Trump a tout de suite compris cette vérité :

Les américains ont perdus de l’argent et l’énergie de leurs hommes à vouloir instaurer une paix absurde entre Israël la civilisée et le monde Arabe barbare, résultat il a préparé ce plan :

On amène Israélien et Arabe à une table on leur donne une semaine pour conclure un accords et selon les conditions du plus fort sur le terrain, Israël en l'occurrence et on tourne la page définitivement sur ce problème trop coûteux.

En clair voici le mode de pensée de Mr Trump :

« Je ne permets à personne de décider de notre sort et encore moins à l’ONU ou aux lobbys ou aux  ONG ou au pouvoir maléfique des médias, je suis seul maître à bord. »

La politique étrangère doit se faire selon la vision du maître du bureau ovale et libre  à lui de coopérer avec les lobbies qui partagent ses opinions politiques.

23/12/2017 Alger