قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
السبت, 07 حزيران/يونيو 2014 16:43

Robert Francis Kennedy : un président enquête

كتبه  Afaf Aniba
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سأعمل عبر موقعي علي إعطاء بعض الخيوط التي جمعتها علي مر السنين في تحقيقي حول إغتيال الرئيس جون كنيدي إن شاء الله. في هذه المرة سأكشف للقراء بعض ما وجدته في أرشيف القصص و الروايات التي كتبتها في الثمانينات. كانت هناك رواية طويلة جدا بحجم سجل إداري، لم أعطيها عنوان حينها، الآن إخترت لها عنوان و قد علمت في أثناء التحقيق المتواضع الذي قمت به أن وزير العدل الأمريكي السابق السيد السيناتور روبرت فرنسيس كنيدي كان ينوي فتح ملف إغتيال أخيه في حالة ما نجح في إنتخابات الرئاسة في عام 1969، فأعتمدت الأمر علي أنه وقع فعلا و لا بد لي من التنويه فيما يخص حقيقة موقف السيد روبرت كنيدي بالنسبة للوبي الصهيوني الذي لم يكن قد تهيكل بعد في تلك الفترة الزمنية.


علي خلاف السيناتور و الرئيس جون كنيدي، كان روبرت كنيدي  متعاطفا مع حق اليهود الصهاينة في إقامة دولة لهم في فلسطين المحتلة، فقد زار كصحافي مراسل أرض فلسطين قبل قيام الكيان الغاصب فيها و أبدي بعض الملاحظات التي جعلته يميل إلي اليهود الصهاينة و ليس إلي السكان الأصليين. إلا أنه و في عهدة الرئيس كنيدي إلتزم بتعليمات هذا الأخير فيما يتعلق بالتحقيق عن نفوذ الماسونيين و التمويل الصهيوني من خارج الولايات المتحدة لبعض المنظمات و الأطراف داخل الولايات المتحدة الأمريكية و كان هناك من يشجعه في هذا المنحي خاصة السيناتور السيد فولبرايت الذي لم يحتفظ فيما بعد بمقعده في مجلس الشيوخ لموقفه المعادي للهيمنة الصهيونية في كواليس الحكم في واشنطن.

Quand j’ai écrit ce manuscrit à la main, j’avais entre quinze, seize ans.

 Je relatais sur trois cent pages, les prémices de l’enquête que j’avais menée sur l’assassinat du président Kennedy. Faisant comme si Robert Kennedy avait gagné les élections présidentielles en 1969.

 C’est à travers ce travail que j’ai présenté une partie des découvertes de l’enquête que j’avais commencé enfant sur les véritables assassins du président Kennedy.

Imaginant que Robert Francis Kennedy,  gagne les élections présidentielles de 1969, je lui donnais un mandat de quatre ans où il essaya de désembourber l’armée Américaine du Vietnam et de réaliser quelques uns des buts du new deal qu’incarna son frère John Fitzgerald Kennedy durant son bref mandat. Obtenant un franc succès, Robert Kennedy se présenta pour un second mandat qu’il décroche haut la main et c’est durant ce second mandat qui devrait se terminer en janvier 1976 qu’il décidera de rouvrir le dossier de l’enquête de l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy.

J’évoque les heures d’immobilité complète que j’observais dans mon siège face à mon bureau, la plume à la main début des années 80. Je restais des heures à réfléchir au puzzle que je couchais noir sur blanc sur les feuilles de mon registre. Je revoyais l’autorité de chaque institution Américaine, le Fbi, le Cia, la Maison Blanche, le Pentagone, le Congrès avec sa chambre basse et haute, les différents lobbies, sans oublier la redoutable mafia et  l’allié damné Israël force occupante de la Palestine 1948 et 1967.

 Je revoyais la liste des héros du roman, la figure de la directrice adjointe du secrétaire du conseil de sécurité national Américain, Florianne Speers. Elle était le pivot du roman avec un autre personnage car elle était un double agent Israélo-Américain, ses sympathies marquées et qu’elle ne dissimulait pas pour le lobby sioniste qui va s’organiser et apparaître plus tard officiellement sous la dénomination de l’Aipac.

Et les tentatives effrénées de cette dame et d’autres complices hauts placés pour mettre les bâtons dans les roues de l’équipe d’enquêteur nommé par un comité indépendant approuvé par le président Robert Francis Kennedy. Il était vital pour les hommes et les femmes de l’Aipac bien implantés dans les rouages du système Américain de faire tout ce qui était en leur pouvoir pour que la vérité toute la vérité n’éclate pas au grand jour sur les véritables commanditaires de l’assassinat du président Kennedy.

La conspiration du silence poursuivit Robert Francis Kennedy jusque dans le bureau ovale, il y a une scène que je vais retranscrire aux honorables lecteurs pour leur donner une meilleure idée de la nature du terrible duel entre le bien et le mal qui se livrait sous le regard paisible et sage de l’ex Attorney General Robert Francis Kennedy.

Jouant avec sa dernière fille née, Roury six ans-dans la réalité, cette fille cadette est née après son assassinat de quelques mois, Robert Francis Kennedy avait eu  onze enfants- dans le bureau ovale dans un moment de détente. Le secrétaire du président lui annonce que Florianne Speers voulait le voir. Pendant un moment le président hésita, il voulait profiter de ces quelques minutes précieuses pour les partager avec sa fille cadette. Il détestait la renvoyer à sa nurse. Soudain, il prit une décision :

«-Qu’elle entre.

Speers en dépassant le seuil du bureau eut une ombre sur le visage, Robert Kennedy n’était pas seul, il avait entre les bras Roury sa fille cadette. Cette dernière s’était tournée vers elle, Robert vit le visage de sa petite fille s’assombrir.

-Bonsoir Mr le président, je sais que cette demande d’entrevue intervient dans l’un de vos moments de détente mais il fallait que je vous vois.

Robert Francis fit le ton neutre :

-Oui, Miss Speers ?

-Je me suis permise de demander le casier judiciaire de maitre Gordon.

-Pourquoi l’avez-vous fait miss Speers ? Vous savez bien que c’est moi qui ai veillée personnellement à vérifier l’intégrité de tous les membres du comité d’enquête.

-Eh bien ! Excusez-moi monsieur mais le registre de cet homme n’est pas net, il a été accusé de complaisance envers un de ses clients Arabes dont il a tout  fait pour brouiller ses liens avec une compagnie de communication dont le fondateur est un Syrien connu pour ses positions très hostiles envers Israël et qui a été soupçonné par les services du Fbi pendant un temps d’être le financier d’un groupuscule de terroriste anti-sioniste.

Froidement, le président répliqua :

-Miss Speers, le Fbi a eu des soupçons non étayes par des faits tangibles. L’enquête a abouti à un non lieu et William Gordon a été payé par son client Arabe pour prouver à nos services de sécurité que ses relations avec ladite société étaient en règle et qu’il n’avait pas enfreint les lois des Etats-Unis en l’occurrence.

Florianne, l’air tendu, fit :

-          L’enquête en question a au contraire relevé un fait troublant monsieur.

-          Lequel ?

-          Que Akram Arij était en effet un homme hostile à l’état Israélien.

Robert s’apprêtant à répondre, vit Roury  se pencher sur son oreille et l’entendit lui chuchoter à l’oreille droite :

-Papa, cette femme est méchante.

Il eut un grand sourire, incompréhensible pour Speers à dix pas de lui. Embrassant sa fille,  il se tourna calmement vers l’adjointe du directeur du conseil de sécurité national Américain.

-Akram Arij a la double nationalité Syro-Américaine, il a sa propre opinion politique libre à lui de la professer, l’essentiel pour nous est qu’il n’est pas passé aux actes.

-Pourtant monsieur…

Roury choisit cet instant pour vouloir descendre à terre. Son père lui rendit sa liberté de mouvement, la surveillant du regard, Robert l’air patient annonça :

-Je vous écoute Speers.

-J’ai reçue ce matin une communication du chef de la commission des affaires étrangères au congrès le sénateur Harry Warren, commença t-elle.

Elle s’interrompit une courte minute puis reprit le ton décidé devant la mine indifférente du président :

-Il m’a apprit une chose que vous auriez dû nous prévenir en premier, nous les membres du conseil de sécurité national Monsieur.

Devant le ton glacial de la jeune femme, Robert Kennedy ne pu s’empêcher de sourire, il savait où Speers voulait en venir.

Devant la volonté du président à garder le silence, Speers poursuivit l’air offensé :

-          Vous avez l’intention de lancer un ultimatum à notre allié Israélien pour qu’il effectue un retrait de Jerusalem-est, sans prendre nullement en compte la sécurité d’Israël et des Usa.

Roury  intervint à ce moment au grand dam de Florianne Speers :

-Qu’est ce que c’est Israël papa ?

Souriant, Robert fit à l’adresse de Speers :

-Voulez-vous je vous prie expliquez à mon adorable fille ce que c’est Israël,  Miss Speers ?

Elle faillit perdre contenance devant cette demande réplique du président mais se retenant à temps, elle composa un sourire fin  envers l’enfant et lui dit :

-C’est un petit pays au peuple très courageux et très brave, ma chérie.

Le ton sentencieux Robert fit pour son enfant :

-Oui  Roury, Israël est un tout petit pays qui était à l’origine un autre pays et qui a été colonisé par nos frères Juifs qui se sont battus sauvagement pour arracher ce bout de terre à ses habitants Arabes.

L’enfant ouvrit ses grands yeux bleus et fit un sourire éblouissant à son père puis ajouta :

-Papa, je te dirais une chose quand cette dame partira.

-Monsieur…

-Mademoiselle Speers permettez-moi d’écourter cette entrevue et de vous rassurer sur la sécurité nationale Américaine, je suis appelé à garantir cette sécurité de par les clauses de notre constitution quant à la sécurité d’Israël je ne suis pas un président Israélien, je vous rappelle que je suis président Américain et il y va de la sécurité de ce pays si cher à nous de se retirer des territoires 67 au plus vite s’ils veulent justement assurer leurs sécurité et vous ne pouvez oublier que tactiquement je les ai soutenu fermement durant la guerre des six jours! Pour un complément d’information et de concertation ce sera pour le début de la semaine prochaine,  bonsoir Speers.

Ne cachant pas sa déconvenue, la jeune femme jeta un bonsoir mécontent et sortit le pas rapide.

-Papa, ces gens là qui ont occupés cette terre qui ne leur appartient pas, ne sont ni braves ni courageux, fit alors Roury.

Robert sautant sur ses jambes, prit sa fille dans ses bras :

-Tu feras ma chérie un excellent président mais personne ne voudra de toi, tu es trop honnête ! Allons, maintenant nous allons chercher maman.

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