قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الأحد, 30 أيلول/سبتمبر 2012 08:03

Washington Cimetière d'Arlington School without wall IV

كتبه  Afaf Aniba
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En écoutant  le conférencier Mr Elias, je constatais que le libre choix, a été l’autre fondement des Etats-Unis d’Amérique et l’élection libre se fait à tous les niveaux, du simple directeur d’établissement scolaire, au shérif au sénateur au président de l’exécutif. Et pourtant, je restais sceptique parce que de nos jours, l’élection en elle-même n’est plus d’actualité d’autres facteurs encore plus importants entrent en jeu, surtout money. L’argent est devenu le moteur principal des campagnes électorales et le président malgré le pouvoir de la constitution a désormais les mains liés, ce n’est pas lui qui dessinent la politique à suivre, ce sont les lobbys et les élus ne font que

défendre l’argent et les intérêts de ceux qui financent leur course aux postes politiques.

Il y a un grand désenchantement à l’intérieur des Usa et dans le monde entier. Aujourd’hui, nous vivons le quotidien de « Occupy Wall Street ». De plus en plus de voix s’élèvent en Amérique pour dénoncer la mainmise des grandes familles de la finance, du pétrole, et de bien vilaine chose. Le citoyen Américain vit avec un taux d’endettement le plus élevé au monde !

De quel puissance se targue l’administration Américaine ? Si elle est redevable à la Chine ! La force de frappe de l’armée Américaine a été incapable de vaincre l’armée des Talibans en Afghanistan et il nous  a fallut un Julian Assange pour qu’on se rende compte du fait «  Si les combattants Afghans ont mis à mal avec leurs modestes moyens la toute puissante armée Us, nous devons apprendre à notre tour à résister. »

A la fin du thème, Akram R. Elias, nous donna la parole et une discussion passionnante en ressortit. On apprit entre autres que l’Emir du Qatar au cours de ses visites officielles aux Usa écoutait tout le monde et bien entendu, les représentants de l’Aipac !

Quand Meg et Madame Sanâa reparurent, elles s’étaient enquis de notre santé :

-Si l’un de vous souffre maintenant de quoi que ce soit, il a la possibilité de voir un médeçin, vous êtes assuré, nous indiqua Meg.

A la surprise générale, le représentant Libyen, leva la main :

-J’aimerais bien consulter un docteur, avait-il déclaré.

Rendez-vous fut fixé


Les deux dames nous avaient annoncés, qu’on allaient les revoir à la fin de notre séjour à New York. Mais auparavant, elles avaient insistés à prendre une collation avec nous à la cantine de l’endroit, traversant un jardin aux couleurs ocres et dorés, nous avons pénétrés un rez-de chaussée, qui nous
  avait conduit trois marches plus bas à une vaste salle, où un self-service était servis. Chacun son tour, on avaient pris place et je me mis à déguster tout en écoutant ce qui se disaient autour de moi, je relevais qu’une visite à School without wall envisagé pour le lendemain mardi, devrait être guidé par deux stagiaires de Meridian International, puis prenant chacun son enveloppe, nous avons su que pourvus de trois milles dollars pour payer nourriture, hôtel et inclus les pourboires, nous devions commencer le programme le jour même, peu de temps après nous avions eu un repas au célèbre Mama Ayesha’s Restaurent.

Très intéressant, pouvoir parler avec des teenagers. Je pensais à toute sorte de chose quand ma collègue Jordanienne avait formulé une question à haute voix :

-Devrait-on s’attendre à des questions surprises de la part des élèves ?

Meg avait sourit :

-Généralement, on s’attend à tout de nos adolescents, donc soyez avertis.

Pour ma part, j’imaginais leurs têtes et je commencais à forger mes propres questions, si je devais répondre à des questions j’avais droit aussi à des réponses.

Sara près de moi avait dit :

-       Je ne sais si le thème du programme va les intéresser.

-       Rassure toi, les plus jeunes sont des touches à tout, et c’est cela qui m’importe vraiment, lui ai-je rétorquée.

Une demi-heure plus tard, on prenaient la route avec toujours madame Sanâa et Meg pour le restaurant de Mama Ayesha.

Le lieu me parut ordinaire, un coin nous avait été réservée, en s’installant, un autre groupe des délégués des pays du Golf avec des représentants du department of State firent leur entrée.

Meg assise à côté  de moi, j’eu l’occasion de discuter à fond avec elle, à un moment, elle avait fait une remarque :

-Je suis confuse, vous avez une bonne connaissance de l’Histoire de mon pays, tandis que moi j’ignore tout de l’Algérie !

Eh ! oui pour beaucoup d’Américains le nord Afrique est loin et une bonne partie d’entre eux ne connaisse pas mon pays. Pour ma part, les Algériens assument une grande responsabilité dans cette méconnaissance, ils ne font rien pour bien introduire leur pays dans les cercles fermés de Washington.

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