-Oui, répondit le juge suprême, nous devons  préparer l'après génération de la révolution de 1954, nous avons un excellent vivier pour des nominations clés.

-Bien, je n'y vois aucun inconvenient, fit la présidente .

Le premier rendez-vous du lendemain, fut une audience au ministre des affaires étrangéres de l'Union Européenne, Mr Heinz Fitwold :

-Madame, un régime constitutionnel doit avant tout veiller au bien-être de ces citoyens et à ce qu'ils aient droit à un traitement juste.

Chamss se contenta de hocher la tête.

-Et pour cela, votre justice doit préserver la vie des personnes accusés de corruption et leur accorder une seconde chance poursuivit le responsable Européen.

-Il n' y a pas de seconde chance pour une personne qui a volé et détourné l'argent public pendant plus de 15 ans Monsieur Fitwold et la peine de mort une fois appliqué donnera à réfléchir à des personnes malintentionnés. Répliqua le ton calme la présidente.

-Une peine d'emprisonnement longue suffit Madame, en appliquant le suivi des finances d'une manière régulière vous pouvez endiguer le fléau et mettre fin aux agissements malhonnêtes, rétorqua le représentant de l'Union Européenne.

-Je suis désolée Mr Fitwold mais nous sommes seuls juge en la matière, actuellement nous sommes en train de traiter un grand nombre de dossier de détournement et de vol tout court commis par des responsables tout à fait conscient de leurs actes comdamnables, nous sommes décidés à sévir et à être sans merci. Mon pays a longtemps pâti de l'esprit vorace de la mafia au pouvoir et ce n'est que justice de les condamner à mort.

Heinz Fitwold comprit que quoique il argumentera, il n'obtiendrait rien de la présidente.

La jeune femme  fit d'un ton appuyé :

-Par contre Monsieur, nous comptons totalement sur votre coopération pour rapatrier l'argent volé, et comme vous êtes là, le ministre de la justice devrait vous recevoir pour vous mettre au fait de notre demande d'aide.