Quittant le présidence, Chamss se rendit sur les hauteurs del Djazair au rendez-vous décisif avec les généraux mécontents, elle fut reçut par le ministre de la défense, l'endroit avait été choisit à dessein pour garder secréte cette rencontre. 

En apparaissant dans une salle aux rideaux tirés, la jeune femme prononça une prière intérieur et le visage surmonté d'un sourire serein salua un à un les présents.

Ces messieurs aux galons debout, prirent place d'une invitation de la présidente :

-Chacun de nous ici aime l'Algérie à sa manière, déclara Chamss et je voudrais vous rappeler ceci : Nous ne pouvons tabler à chaque fois sur la force militaire pour protéger notre terre, nous devons aller vers d'autres choix moins coûteux et plus profitable pour nous tous.

Le général Belayeb rétorqua :

-C'est notre force militaire qui a maintenu nos ennemis à distance, et d'aller vers une union maghrébine qui efface les affronts historiques cela ne fonctionnera pas.

-Que voulez-vous dire par affronts historiques général ?

-Ce n'est pas le Maroc qui a aidé les Sahraoui pour chasser l'occupant Espagnol, c'est nous, répondit-il.

-Bien, c'est un fait mais le territoire n'est pas seulement la portion de terre qui est hors du contrôle du Maroc, et que nous le voulons ou non c'est risquer un voisinage explosif si nous continuons à réclamer une indépendance contre-productive. Argua la jeune femme.

-A votre tour de nous expliquer ce que vous entendez par indépendance contre-productive ? S'enquit le chef de la zone quatre.

-Pourquoi de nouvelles frontières et surtout un nouveau régime totalitaire ? Eh oui ! Nous devrions l'admettre face au régime monarchique nous avons un régime autoritaire et non démocratique ! Nous devrions prendre en compte avant tout ceci : Nous avons besoin de resserrer les rangs et ne pas semer la discorde, plus que jamais nous devons faire preuve de retenu et de clairvoyance, nous pouvons avoir une relation excellente avec le Maroc si nous dépassons  nos partis pris, nos réserves et notre haine, il le faut messieurs !