Demain Inshâallah Mr le président John Fitzgerald Kennedy, le 22 novembre c'est l'anniversaire de votre assassinat. Depuis plus de quarante ans, je vis chaque 22 novembre en deuil, et comme ma mère me l'a dit quand j'étais toute petite " Le jour de la mort du président Kennedy ma chère enfant, j'ai ressenti qu'une étoile s'est éteinte à tout jamais dans le ciel, prie Allah pour qu'il le récompense pour son courage."

Chaque 22 novembre, j'allume une bougie , vous êtes la lumière de cette bougie qui éclaire notre longue nuit.

Toute petite, je pleurais votre mort et jamais je ne me suis remise du faite qu'on vous a perdus, que personne n'a rien fait pour vous sauver.

Je vous revois quand vous avez perdu votre fils Patrick, et que vous avez réclamer auprès de vous Robert Francis votre frère. En sa présence, vous avez pleuré cinq longues minutes, et il n' y avait que Robert qui savait vous réconforter, vous avez été toujours si proche l'un de l'autre, et quand vous avez été assassiné, et vint le tour de Robert Francis de vous rejoindre, il est parti, il n'a pas résisté à ses blessures, j'ai perçu comme une hâte de sa part de vous retrouver.

Je vous revois portant Caroline et jouant avec John Junior dans le bureau ovale, Pierre Salinger disait de vous que les enfants de la famille Kennedy vous adoraient, les enfants sont des petits anges,  et quand un ange aime un adulte, forcément cet adulte a un côté ange.

 Je sais que là où vous êtes, mes paroles vous parviennent, sachez Mr le Président John Kennedy que ce que vous m'avez appris a fait de moi une musulmane différente, une musulmane positive, une musulmane citoyenne à l'action efficiente.

Jamais, je n'oublierais votre héritage moral, et que Allah vous couvre de sa Miséricorde.