Washington D. C.

La réunion de crise était devenue quotidienne toujours dans le black -out le plus complet, elle ne durait pas plus de un quart-d'heure pour éviter la curiosité malsaine des médias et des fuites.

Les patrons du CIA et Nsa, le vice -président, le secrétaire d'état et le président suivait de prés la fuite du colonel Kimberley.

-Le patron du FBI est mécontent de sa mise à l'écart, fit remarquer le vice-président.

-Il ne le sera plus, une fuite des gardes de sécurité du casino de Jéricho a prévenu Israélien et Palestinien, annonça le patron du NSA.

Le visage grave, Patrick Ayron décrocha le téléphone et appela le chef de l'autorité Palestinienne :

-Le traître qui vous a mis au courant est un double agent il a vendu son information au cabinet de Sheylock et je vous interdit toute action contre le colonel Kimberley, c'est notre affaire.

Raccrochant, il appela le roi de Jordanie :

-Je vous prie de surveiller vos frontières, on va vous envoyer les coordonnées pour situer le point de chute de notre chef de la section militaire à Jerusalem, vous le sauvez et nous vous serons soyez assuré reconnaissant, vous serez épaulé par notre force spéciale stationné dans la mer Rouge et que tout cela reste entre nous Majesté.

Il attendit la réponse :

-Bien merci.

Il releva pour la troisème fois le téléphone mais avant de demander le premier ministre Israélien, il lut le rapport de la situation intérieur du cabinet Israélien puis composant le numéro :

-Bonjour, comment allez-vous ? Fit-il.

Tout le monde entendit la réponse de Aaron Sheylock :

-Mal, nous avons été bernés!!! Le colonel Kimberley est vivant et il a apparement organisé la fuite d'une terroriste Israélienne d'origine Palestinienne, Nahar El Raid, imaginez nous la cherchons depuis quatre jours ...

Coupant court :

-Désolé, fit Ayron vous savez que je reçois tout à l'heure le président Russe, le cas du colonel Kimberley est  de notre prérogative, il est sur le territoire autonome de la Palestine, dés qu'on mettra la main dessus avec sa campagne, nous vous mettrons au courant et j'aurais un autre appel avec vous dans la journée plus substantiel.

-Bien de notre côté nous quadrillons Jericho pour qu'il n'entre pas en territoire Israélien.

Mettant fin à la communication, Ayron lança à ses hommes.

:

Allons au travail.