Le colonel Arthur Kimberley esquiva la cafetière qui se brisa à ses pieds.

Un silence se fit entre eux deux.

Puis d'une voix ferme, il fit :

-Rappelles toi la nuit de ta fuite pour venir me rejoindre, ton père t'a montré les documents qui atteste que je suis devenu musulman depuis un an et demi, je lui ai demandée ta main il a accepté mais il a conditionné notre mariage par ton oui.

Elle leva la tête et fit le ton farouche :

Je le sais Colonel, je ne l'ai pas oubliée mais voilà vous avez tout manigancé dans mon dos, je n'ai à aucun moment choisi quoi que ce soit. Les Israéliens je découvre effarée, ils ne m'ont pas jugés pour avoir donné l'aumône à une amie soeur mais parce que c'est moi qui a vous a conduit au chef du cabinet du ministre de la défense Israélien et que j' ai attiré votre attention sur le faite  qu'il est gay. Dés le début vous m'avez manipulé, vous aviez une mission secrète à remplir et  moi avez-vous songé à ma sécurité, mon père et ma famille sont désormais des réfugiés, notre maison détruite sur notre propre terre, non merci je refuse de me marier avec vous.

Un autre silence eut lieu.

-Bien, Nahar suis-je homme à mentir ?

-Non, c'est cela qui m'indigne justement.

-Crois-moi à aucun moment je ne t'ai manipulée c'est Allah qui t'a mis sur mon chemin, car grâce à ton intelligence que j'ai pu accomplir ma mission pour ce qui est de la réaction Israélienne, je n'en suis pas responsable, et je peux te promettre ceci dés maintenant, votre maison sera reconstruite à Jerusalem inshâallah et ta famille regagnera sa terre et si tu veux nous vivrons en Palestine.

Pour la première fois, elle le regarda :

-Vous me le promettez colonel ? Fit-elle enfin.

-Promis.

Bien, j'accepte, finit-elle après réflexion.

**Ceci est le condensé d'une longue nouvelle et cette fin n'est pas celle de la nouvelle.