قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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الأحد, 01 كانون1/ديسمبر 2013 12:42

La nécessité d'un dialogue interreligieux 1/2

كتبه  Mr Fethullah Gülen
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Aujourd'hui, les gens parlent beaucoup de sujets tels que les dangers de la guerre et des conflits incessants, la pollution de l'eau et de l'air, la famine, le déclin des valeurs morales, etc. Suite à cela, la paix, le contentement, l'écologie, la justice, la tolérance et le dialogue sont passés au premier plan. Malheureusement, en dépit de certaines mesures encourageantes, ceux qui devraient aborder ces problèmes essaient de les résoudre en cherchant d'autres moyens de conquérir et de contrôler davantage la nature et de produire des armes plus destructives. Pour couronner le tout, des sujets obscènes sont répandus par les médias, l'Internet en particulier.

A l'origine de ces problèmes se trouve l'idéologie matérialiste qui limite considérablement l'influence de la religion sur la vie sociale contemporaine. Les résultats en sont les déséquilibres actuels entre l'humanité et la nature, ainsi qu'entre l'homme et lui-même. Seule une minorité semble se rendre compte que l'harmonie sociale et la paix avec la nature, entre les gens et au sein de l'individu lui-même, ne peuvent se produire que si les dimensions matérielles et spirituelles sont réconciliées. La paix avec la nature, la paix et la justice au sein de la société, et l'intégrité personnelle ne sont possibles que lorsqu'on est en paix avec le Divin.

La religion réconcilie les opposés qui semblent s'exclure mutuellement: science/religion, ici-bas/au-delà, nature/Livres Sacrés, matériel/spirituel et corps/esprit. La religion peut ériger une défense contre la destruction provoquée par le matérialisme scientifique, assigner à la science sa vraie place, et mettre fin aux conflits de longue date parmi les nations et les peuples. Les sciences naturelles, qui devraient poser des jalons de lumière conduisant à Dieu, sont devenues, à une échelle sans précédent, l'une des causes de l'incroyance. Puisque l'Occident est devenu la principale base de cette incroyance, et parce que le christianisme est la religion qui a été la plus influencée par l'incroyance, le dialogue entre musulmans et chrétiens semble indispensable.

L'objectif du dialogue entre les religions du monde n'est pas simplement de mettre fin au matérialisme scientifique et à l'idéologie matérialiste destructive. En fait, c'est la nature même de la religion qui exige ce dialogue. Le christianisme, le judaïsme et l'islam, et même l'hindouisme et d'autres religions du monde reconnaissent avoir la même origine et, avec le bouddhisme, poursuivent le même but. En tant que musulman, j'accepte tous les prophètes et tous les Livres envoyés aux différentes nations à travers l'histoire, et considère la croyance en eux comme un principe essentiel pour être musulman. Un musulman est un vrai disciple d'Abraham, de Moïse, de David, de Jésus et de tous les autres prophètes. Ne pas croire en un seul de ces prophètes ou des Livres saints signifie que l'on n'est pas musulman. Ainsi nous reconnaissons l'unicité et l'unité fondamentale de la religion, qui est une symphonie des bénédictions et de la miséricorde de Dieu, et l'universalité de la croyance en la religion. La religion est donc un système de croyance embrassant toutes les races et toutes les confessions, un chemin réunissant tout le monde dans la fraternité.

Indépendamment de la façon dont leurs adhérents vivent leur foi dans leur quotidien, les valeurs communément acceptées telles que l'amour, le respect, la tolérance, le pardon, la pitié, les droits de l'homme, la paix, la fraternité et la liberté sont toutes exaltées par la religion. La plupart de ces valeurs gagnent la plus grande priorité dans les messages apportés par Moïse, Jésus et Mohammed, ainsi que dans les messages de Bouddha et même de Zarathoustra, de Lao-tseu, de Confucius et des savants hindous.

Dans une tradition prophétique qui est rapportée presque unanimement dans la littérature du hadith, il est mentionné que Jésus apparaîtra vers la fin du monde. Nous ne savons pas s'il réapparaîtra physiquement, mais ce que nous comprenons est qu'à l'approche de l'Heure Finale, les valeurs telles que l'amour, la paix, la fraternité, le pardon, l'altruisme, la pitié et la purification spirituelle prédomineront, tout comme elles l'étaient au temps de Jésus. En outre, parce que Jésus fut envoyé aux juifs et parce que tous les prophètes hébreux exaltèrent ces valeurs, il sera nécessaire d'établir un dialogue avec les juifs ainsi qu'une coopération et des rapports étroits entre l'islam, le christianisme et le judaïsme.

Il y a beaucoup de points communs qui permettent d'établir un dialogue entre les musulmans, les chrétiens et les juifs pieux. Comme le précise Michael Wyschogrod, professeur américain de philosophie, il y a tout autant de raisons théoriques ou dogmatiques pour que les musulmans et les juifs se rapprochent qu'il y en a pour les juifs et les chrétiens.[1]En outre, dans l'histoire et dans la pratique, il est rapporté que le monde musulman s'est bien comporté envers les juifs: il n'y a eu quasiment aucune discrimination, et jamais d'holocauste, de négation des droits de l'homme fondamentaux, ni de génocide. Au contraire, les juifs ont toujours été accueillis par les musulmans en périodes de troubles, comme le prouve leur accueil par l'Etat Ottoman après leur expulsion d'Andalousie (Espagne).

Les difficultés que rencontrent les musulmans qui participent au dialogue

Les chrétiens, les juifs et d'autres communautés peuvent faire face à des difficultés internes lors du dialogue. J'aimerais présenter un bref aperçu de certaines raisons qui rendent l'établissement du dialogue difficile pour les musulmans. Les mêmes raisons sont aussi la cause de la mauvaise compréhension de l'islam aujourd'hui.

Selon Fuller et Lesser, durant seulement le siècle dernier, beaucoup plus de musulmans ont été tués par les puissances occidentales que tous les chrétiens tués par les musulmans à travers toute l'histoire.[2]Beaucoup de musulmans tendent à produire des bilans plus complets et croient que les politiques occidentales sont conçues dans le but d'affaiblir la puissance musulmane. Cette expérience historique mène même les musulmans instruits et consciencieux à croire que l'Occident poursuit l'agression systématique qu'il a commencée il y aplus de mille ans contre l'islam et, pire encore, avec des moyens bien plus sournois et plus sophistiqués. Par suite, l'appel au dialogue de l'Eglise engendre beaucoup de soupçons.

En outre, le monde musulman entra au XXème siècle sous la domination directe ou indirecte de l'Europe. La chute de l'Empire Ottoman, le défenseur et le plus grand représentant du monde musulman, fut aussi causée par les attaques européennes. La Turquie suivit avec un grand intérêt les luttes des peuples musulmans contre les invasions étrangères. En plus de cela, les conflits internes au sein de la Turquie entre le Parti Démocrate et le Parti Populaire durant les années cinquante ont mené les conservateurs et certains intellectuels à percevoir l'islam comme une idéologie de conflit et de réaction et comme un système politique, plutôt qu'une religion s'adressant surtout au cœur, à l'esprit et à la raison. La perception de l'islam comme une idéologie partisane dans certains pays musulmans, y compris la Turquie, a renforcé cette impression. En conséquence, les laïcistes et bien d'autres commencèrent à se méfier de tous les musulmans et de toutes les activités islamiques.

L'islam est également vu comme une idéologie politique, car il a représenté la plus grande dynamique lors des guerres d'indépendance des musulmans. C'est ainsi que certains l'ont identifié comme une idéologie d'indépendance. L'idéologie tend vers la séparation, tandis que la religion signifie l'union grâce à l'illumination de l'esprit avec la croyance, à la satisfaction et la sérénité du cœur, à la sensibilité de la conscience et à la perception à travers la vraie expérience. Par sa nature, la religion comprend des vertus essentielles telles que la foi, l'amour, la pitié et la compassion. La réduction de la religion à une idéologie politique agressive et à une idéologie d'indépendance des peuples a érigé des murs entre l'islam et l'Occident et a entraîné une mauvaise compréhension de l'islam.

La représentation historique de l'islam par la chrétienté a aussi découragé nombre de musulmans à entamer le dialogue interreligieux. Pendant des siècles, les chrétiens ont décrit l'islam comme une version sommaire et falsifiée du judaïsme et du christianisme, et ont considéré le Prophète comme un imposteur, un escroc ordinaire ou ingénieux, l'Antéchrist, ou encore comme une idole adorée par les musulmans. Certains livres récents l'ont même dépeint comme un personnage aux idées étranges, convaincu qu'il devait réussir coûte que coûte, et qui aurait eu recours à tous les moyens possibles pour atteindre le succès.

Le dialogue est une nécessité

Aujourd'hui, le dialogue entre les religions est devenu une nécessité. La première étape dans l'amorce de ce dialogue consiste à oublier le passé, à fermer les yeux sur les controverses et à donner la priorité aux points communs qui surpassent en nombre les points polémiques. En Occident, on commence à observer chez certains intellectuels et ecclésiastiques quelques changements dans leur attitude envers l'islam. Je dois mentionner en particulier le défunt Louis Massignon qui fit référence à l'islam selon les termes suivants: «La foi d'Abraham ranimée avec Mohammed.» Il soutenait que l'islam avait une mission positive dans le monde ultérieur au christianisme, car: «l'islam est la religion de la foi. Ce n'est pas une religion de croyance naturelle au Dieu des philosophes, mais de la croyance au Dieu d'Abraham, d'Isaac et d'Ismaël, la foi en notre Dieu. L'islam est un grand mystère de la Volonté Divine.» Il croyait en l'origine divine du Coran et en la Prophétie de Mohammed.[3]

La vision occidentale de notre Prophète s'est également adoucie. En plus des ecclésiastiques chrétiens et des hommes de religion, beaucoup de penseurs occidentaux comme Charles J. Ledit, Y. Moubarac, Irène M. Dalmais, L. Gardet, Norman Daniel, Michel Lelong, H. Maurier, Olivier Lacombe et Thomas Merton, sans compter Massignon, ont exprimé des sentiments chaleureux envers l'islam et envers notre Prophète, et sont tous en faveur de l'appel au dialogue.

En outre, la déclaration finale sur l'islam du concile Vatican II, qui a commencé le processus du dialogue interreligieux, ne peut être négligée. Cela signifie que l'attitude de l'Eglise catholique envers l'islam a maintenant changé. Durant la seconde partie du Conseil, le Pape Paul VI a dit:

L'Eglise regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu Un, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de ta terre qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s'ils sont cachés, comme s'est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers. Bien qu'ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils le vénèrent comme prophète; ils honorent sa mère virginale, Marie, et parfois même l'invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement où Dieu rétribuera tous les hommes ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l'aumône et le jeûne.

Il a également mentionné que l'Eglise catholique loue les aspects bons, vrais et humains de ces religions: L'Eglise catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions

L'Eglise leur réaffirme que dans la société moderne, pour sauver la signification de la religion et de la servitude à Dieu - une nécessité et un besoin de la vraie civilisation - l'Eglise elle-même va se désigner en tant qu'avocat résolu des droits de Dieu sur l'homme.

Il en a résulté un rapport écrit intituléDéclaration sur les relations de l'église avec les religions non chrétiennes, qui a été accepté par le concile et qui déclare:

A notre époque où le genre humain devient de jour en jour plus étroitement uni et où les relations entre les divers peuples augmentent, (¼) les hommes attendent des diverses religions la réponse aux énigmes cachées de la condition humaine, qui, hier comme aujourd'hui, troublent profondément le cœur humain: Qu'est-ce que l'homme? Quel est le sens et le but de la vie? Qu'est-ce que le bien et qu'est-ce que le péché? Quels sont l'origine et le but de la souffrance? Quelle est la voie pour parvenir au vrai bonheur? Qu'est-ce que la mort, le jugement et la rétribution après la mort? Qu'est-ce enfin que le mystère dernier et ineffable qui entoure notre existence, d'où nous tirons notre origine et vers lequel nous tendons?

Après avoir ajouté que les différentes religions essayent de répondre à ces questions chacune à sa manière, et que l'Eglise ne rejette pas complètement les valeurs des autres religions, le concile a encouragé les chrétiens à établir le dialogue avec les membres des autres religions:

Elle [l'Eglise] exhorte donc ses fils pour que, avec prudence et charité, par le dialogue et par la collaboration avec ceux qui suivent d'autres religions, et tout en témoignant de la foi et de la vie chrétiennes, ils reconnaissent, préservent et fassent progresser les valeurs spirituelles, morales et socio-culturelles qui se trouvent en eux.[4]

Notons aussi que le Pape Jean-Paul II admet dans son livre intituléAu seuil de l'espoirque (malgré la négligence et l'insouciance des adeptes de l'islam), ce sont toujours les musulmans qui adorent Dieu le plus sérieusement et de la meilleure façon. Sur ce point, il rappelle à ses lecteurs que les chrétiens devraient prendre les musulmans en exemples.

En outre, la résistance de l'islam aux idéologies matérialistes et son rôle important dans le monde moderne ont beaucoup étonné les observateurs occidentaux. Les observations suivantes de E. H. Jurji sont très significatives:

Dans sa dignité, son indépendance et son zèle réaliste, dans sa lutte pour la solidarité contre les idéologies racistes et marxistes, dans sa dénonciation vigoureuse de l'exploitation, comme dans la prédication de son message à une humanité rebelle et ensanglantée, l'islam fait face au monde moderne avec un sens particulier de la mission. Non confus et non déchiré par un tas de subtilités théologiques, ni enterré sous un fardeau lourd de dogmes, ce sens de la mission tire sa force d'une conviction totale de la pertinence de l'islam.[5]

Les musulmans et l'Occident se sont battus pendant près de mille quatre cents ans. Du point de vue occidental, l'islam avait menacé et conquis beaucoup de portes ouvrant sur l'Occident, des faits qui n'ont toujours pas été oubliés. Cela dit, le fait que cette lutte mène les musulmans à s'opposer à l'Occident et à le repousser ne profitera jamais à l'islam ou aux musulmans. Les moyens de transport et de communication modernes ont transformé le monde en un village planétaire dans lequel chaque rapport est interactif. L'Occident ne peut pas éliminer l'islam ni son territoire, et les armées musulmanes ne peuvent plus marcher sur l'Occident.

D'ailleurs, à l'heure de la mondialisation, les deux camps ressentent le besoin de faire des concessions mutuelles. Certes, l'Occident a la suprématie scientifique, technologique, économique et militaire. Mais l'islam possède des facteurs plus importants et plus essentiels: l'islam, tel qu'il est représenté dans le Coran et la Sounna, maintient toujours la fraîcheur de ses croyances, de son essence spirituelle, des bonnes œuvres et des valeurs morales depuis les quatorze siècles derniers. En outre, il a la capacité d'insuffler l'espoir et la vie aux musulmans engourdis pendant des siècles, de même qu'à beaucoup d'autres peuples qui se sont enlisés dans les marais du matérialisme.

Puisque la religion n'a pas encore échappé à l'attaque de l'incroyance qui se base sur la science et la philosophie, personne ne peut garantir que cette tempête ne soufflera pas encore plus fort à l'avenir. Ces facteurs et bien d'autres n'autorisent pas les musulmans à regarder et à présenter l'islam comme une simple idéologie politique ou un système économique; ni ne leur permettent-ils de considérer l'Occident, le christianisme, le judaïsme, et même d'autres religions telles que le bouddhisme, uniquement à partir d'une perspective historique en fonction de laquelle ils définiraient leurs attitudes.

Quand ceux qui voient l'islam comme un système politique au lieu d'une religion dans son vrai sens reconsidèreront leurs activités et leurs attitudes, surtout leurs politiques qu'ils prétendent être islamiques, ils découvriront que leur force motrice est généralement la colère personnelle ou nationale, l'hostilité et d'autres motifs semblables.

Si tel est le cas, nous devons accepter l'islam et adopter une attitude islamique comme point de départ fondamental pour l'action au lieu de l'accablante situation actuelle. Le Prophète a défini le vrai musulman comme celui dont les gens sont à l'abri du mal de sa langue et de ses mains, et qui est le plus digne représentant de la paix universelle. Les musulmans portent toujours ces sentiments sublimes qu'ils nourrissent au plus profond de leurs âmes. Loin d'infliger les tourments et les souffrances, les musulmans sont au contraire mentionnés comme des symboles de paix et de sécurité. Pour eux, il n'y a aucune différence entre une offense physique et une offense verbale, telle que la médisance, la fausse accusation, l'insulte et la raillerie.

Notre point de départ doit avoir une base islamique. Les musulmans ne doivent pas agir en manifestant du parti pris pour une idéologie ou une politique, puis l'envelopper d'une apparence islamique, ni présenter de simples désirs comme des idées. Si nous pouvons surmonter cette tendance, la vraie image de l'islam sera mise au grand jour. La présente image corrompue de l'islam qui résulte de sa manipulation intéressée par à la fois les musulmans et les non-musulmans, effraie les musulmans tout autant que les non-musulmans.

Sidney Griffith indique un fait important concernant la vision de l'islam par l'Occident: «Dans les universités américaines, l'islam n'est pas enseigné en tant que religion dans les facultés de théologie mais en tant que système politique enseigné dans les départements de sciences politiques ou ceux des relations internationales.»[6]Une telle perception se trouve aussi parmi les sections occidentalisées du monde musulman et non musulman en Asie et en Afrique. Plus étonnant encore, beaucoup de groupes qui se présentent sous la bannière de l'islam ne font en réalité que répandre et renforcer cette image.

Source:

http://fr.fgulen.com/content/view/7/30/

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