"Alors que la femme a fêtée sa journée à travers le monde, le hasard a voulu qu'on visite la maternité à Sidi-bel Abbas, un endroit qui symbolise la vie que donne la femme au prix de souffrances intenable et douleurs indescriptible, nous voulions souhaiter à ces femmes une bonne fête, hélas, un triste tableau s'est offert à nos yeux, celui de deux nouveaux nés qui venaient de sortir du bloc opératoire de la maternité au même instant.

"Le premier, sa maman rayonnait de joie, elle fut vite entourée par ses proches avec attention, son mari, s'est précipité avec tendresse pour voir son fils. Mais paradoxe, l'autre bébé était jeté dans un coin. Il était indésirable. Sa mère qu'on n'a pu voir car isolé par le service concerné, ne voulait voir personne. Même son bébé, elle refusait de le voir, de le toucher, de le prendre dans ses bras."

"Elle ne voulait pas en entendre parler. il faut se mettre à la place de cette fille sans faire de procès), déchirée par l'abondan de sa chair. Mais où chercher les causes du drame de ces enfants abndonnés qui viennent au monde quotidiennement, à l'avenir sombre et incertain. Certes la contraception est disponble mais à quel prix ?"*

Une solution (islamique) puisée dans la tradition de notre vénéré Prophète et le Coran Sublime, peuvent régler" milles problèmes. Il faut épargner à la femme(musulmane) d'autres souffrances car démontrer à travers le 8 mars que la femme Algérienne relève des défis, c'est beau mais ignorer les souffrances des filles-mères, ce n'est que mépris et fuite en avant."*

*Extrait du quotidien "le Soir d'Algérie" N°2256, du 12 mars 1998, p. 6 avec quelques modifications de notre part.

*Idem

Extrait du manuscrit inédit de M. Mokhtar Aniba resté sans titre