قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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لنكتب أحرفا من النور،quot لنستخرج كنوزا من المعرفة و الإبداع و العلم و الأفكار

Tuesday, 24 November 2015 02:58

Vous êtes un voleur Mr le président 4

Written by  Afaf Aniba
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-          - Comment cela ?

-- Divergence ou pas, notre politique ne changera pas. Comme nous sommes d’accord sur le fond, ils n’ont pas à nous démontrer la manière avec laquelle nous devons protéger l’argent du contribuable Américain, et libre à eux d’assouplir les conditions d’emprunt.

-- En effet, néanmoins ils sont plus conciliant que nous sur le plan d’aide, surtout en ce qui concerne les dons annuels.

-          -Kemby, je ne suis pas d’accords pour aider israélien ou palestinien par des dons, les Palestiniens ont leurs frères arabes et musulmans suffisamment riche pour les aider à bâtir une économie solide, les Israéliens de même, ils ont leurs magnats et leurs multinationales à travers le monde entier, ils peuvent leur prêter de l’argent ou le leur donner, en tant que Américain nous ne sommes pas responsable du sort économique des deux états. Si nous venons à mesurer la somme totale que nous ont soutirés les israéliens depuis la création de leur état en 1948, nous aurions pu régler avec au moins la moitié de notre dette, donc pas question de jouer aux généreux avec les Palestiniens.

-

-          Al Kemby après un temps de réflexion, fit :

-          -Vous avez tout à fait raison.

-          Silencieuse, Khorfaï avait le front plissé :

-          - Quelque chose ne va pas ? S’enquit à nouveau son interlocuteur.

-           

-          Esquivant la réponse, elle lui lança en se levant :

-          - Je m’en vais, à demain Kemby.

-Il la vit partir perplexe, elle paraissait soucieuse «Quelque chose l’inquiète cela est sûr » Se dit-il «Mais quoi ? »

-La jeune femme dans la cour intérieure de la représentation se dirigea tout droit vers Gray :

-          - Les clefs s’il vous plaît ? Lui dit-elle. Il les lui remit, montant sur le siège du conducteur, elle mit en marche le moteur, démarrant le véhicule quitta les lieux. Empruntant une ruelle la jeune femme conduisit en silence :

-          - Où allons-nous ? Fit enfin son garde du corps.

-- A l’hôtel.

-- Pourquoi faire ?

-- Cette nuit, vous dormirez au Mandarin, moi j’irais chez mes proches.

-- Mais c’est moi qui décide où je passe ma nuit. Objecta Gray.

-- Désolé, je sais être opiniâtre et désobéissante moi aussi.

-Elle l’entendit rire, Amal lui en demanda la raison :

-          - Vous avez en ce moment la tête d’une personne résolue à aller jusqu’au bout.

-La réaction de la jeune femme surprit le jeune homme, elle s’était raidie. Le regard fixé sur la route les lèvres serrées, un long quart d’heure s’écoula. Aux approches de l’hôtel, il se décida :

-         

-          -Miss Khorfai, je ne peux vous obeir, nous avons reçut ce matin un rapport nous intimant l’ordre de redoubler de vigilance, les terroristes Palestiniens de l’organisation Thâar ont appris votre présence et ont mis votre tête à prix, pour eux vous êtes une musulmane qui s’est vendue aux mécréants Américains donc en aucun cas je ne peux vous laisser seule.

-

-          La jeune femme continua de conduire jusqu'à l’hôtel Mandarin en silence, là, elle descendit, donna les clefs à son garde du corps et vint s’asseoir prés de lui.

-          En cinq minutes, elle se trouva devant le portail des Nawazi :

-          - Bonsoir miss. Dit Gray. Le repas du soir pris avec la famille, Amal fit sa prière d’El Ichâa puis s’allongeant dans son lit, elle voulut revoir dans sa tête tous les détails du plan qu’elle avait dressé le jour même, un bip bip de son portable la tira de sa couchette, il était minuit passé :

Reyvins, fit-elle stupéfaite.

Oui, c'est moi, Amal, désolée de te déranger à cette heure indue, tu dois être fourbue.

Le ton sérieux, elle répondit:

-Que se passe t-il ?

Dés après ton entrevue avec le président demain, tu prends le train et tu viens à Tel-Aviv, je dois te parler.

-Dois-je écourter mon séjour et annuler tous mes rendez-vous ?

-Non, tu les retardes de quelques heures, tout simplement.

Ne pouvez-vous dire de quoi il s'agit ?

-Non, je t'ai réservée une place aller-retour, tu n'as qu'a la réclamer Gray aussi.

-Ok, à demain inshâllah.

Inshâallah.

, Mettant fin à la communication, la jeune femme se sentit mal à l'aise Anthony Reyvins était son patron dans l'équipe de négociateur depuis trois ans. Elle entretenait une relation professionnelle excellente avec lui, elle était la seule femme de l'équipe et elle était respectée par tous ses membres, elle avait décelée dans sa voix une note qu'elle ne lui avait jamais connu auparavant.

" Je ne dois pas faire des supputations en pure perte, demain inshâallah je saurais de quoi il retourne.

Le lendemain matin très tôt, aussitôt arrivé à la représentation diplomatique Américaine à Gaza, elle reçut un appel de Cold :

Elle demanda :

Où êtes-vous ?

-Dans ma voiture bloquée dans la circulation de midi.

-Je vous aie envoyé de nouvelles données. J'aimerais d'abord vous entendre.

-Korfaï vous devriez voir Kayssar.

-Il habite en plein desert à l'est de Gaza, je le verrais à mon retour de Tel-Aviv, Reyvins m'a convoqué en urgence pour aujourd'hui, lui répondit-elle.

-Nous nous sommes ouvert à nos alliés israéliens, le pot aux roses découvert, ils exigent un black-out.

-Quoi!! Vous plaisantez Cold ?

-Non, Khorfaï je suis tout à fait sérieux, nos alliés ont leurs raisons.

-          - Ce serait faire preuve d’un aveuglément impardonnable de notre part, ils auront toujours des raisons à invoquer, l’éternel histoire qu’on leur a apprit et qu’ils brandissent impunément. L’argent en jeu c’est le nôtre, ces messieurs ont volé l’argent du contribuable américain, ne l’oubliez pas.

-- Personne ne sait rien, les palestiniens leur victime ignorent tout…

-- C’est nous leur victime Cold ! Cet argent n’appartient pas aux palestiniens, c'est le nôtre fit le ton froid la jeune femme.

-- Je vous en prie Khorfaï, si la nouvelle s’ébruite  nous avons un premier ministre israélien foutu, un président américain fou furieux, pensez aux graves conséquences !! Nous devrions protéger l’intégrité morale de notre alliance !! Ce vol sera le dernier. Leur objectif est de déstabiliser le président palestinien et de renvoyer aux calendes grecques les négociations sur le statut définitif de Jérusalem qui sont en cours, c’est un coup bas ! Je le conçois, nous les avons pris si j‘ose dire la main dans le sac, un entretien avec Aberdeen ( chef du Cia)m’a rassuré sur un fait cet épisode ne sera pas passé sous silence.

-La jeune femme demeura silencieuse.

-          - Dites quelque chose ? Fit la voix de Cold.

-          - C’est sale et mauvais, je ne puis imaginer que c’est cette parade qui convient à une traîtrise pareille,  ?

-          Ce sont les ordres, Khorfaï.

-Elle répliqua le ton dur :

-          Cold, je suis américaine comme vous, je veux d’un allié qu’il soit honnête avec moi.  Je ne pourrais jamais comprendre cette volonté à épargner un allié qui ne se gène pas de comploter dans notre dos.

Le ton sec, il répliqua :

-Khorfaï laissez de côté vos ressentiments religieux

Elle l'interrompit:

-Cold ! je peux vous poursuivre en justice pour ce que vous venez de dire maintenant, notre conversation est enregistré ! écoutez moi, je suis en désaccord pas parce que je suis une américaine musulmane mais parce que cela est malhonnête et n'oubliez surtout pas ceci Cold, moi je suis une américaine de souche mon père est un descendant de la tribue Indienne Iroquois que vos ancêtres anglais se sont permis de massacrer donc je ne vous permet pas de me donner des leçons de patriotisme, mon allégeance à moi est indubitable, la vôtre j'en doute.

Cold ayant garé sa voiture avait blêmit à ses paroles, il dut reprendre le ton froid :

-Exécutez les ordres Khorfaï

 J’obéirais aux ordres et j’attends la suite de vos instructions.

Amal raccrocha .

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