La première des recommandations que je donnerais à l'honorable lecteur est de lire ce lien qui relate un long paragraphe de l'un des premiers chapitres du roman futuriste intitulé "La bataille del Qodss " que j'ai écrit en 2003: http://www.afafaniba.net/index.php/latin-articles/en-francais/item/712-la-bataille-d%E2%80%99el-qodss#.VVtSmxu0HeQ.facebook

, pour pouvoir lire ce qui va suivre et qui fait partie d'un chapitre de la seconde partie du roman futuriste. Ce que vous allez lire ici, n'est qu'une première ébauche car le roman est encore incomplet et je dois consacrer une partie de mon temps pour pouvoir présenter aux honorables lecteurs une vision du monde en 2040-2045, date approximative de la libération de la terre de Palestine.

Le personnage de Racha Essovtz existe dans la réalité car nous avons la seconde génération de musulmans Américains qui se sont convertis à l'Islam, c'est à leurs enfants et leurs petits-enfants qu'échoit l'honneur de pénétrer l'appareil politique Américaine pour se positionner dans le futur inshâallah dans les postes clés du système Américain et ils vont travailler dur pour assurer la neutralité des Usa au moment où les soldats Musulmans avec l'état-major Musulman auront cernés de toute part le sionisme en terre sainte Falestine et que la plus grande bataille que connaitra l'humanité depuis Adam que la paix soit sur lui commencera aux abords de Beytlehm, Bethléem. Une dernière chose à signaler, une étude du CIA récente a démontré que dans un futur proche les Usa ne seront plus une superpuissance!

Je vous laisse avec les héros de la seconde partie de la bataille del Qodss:

Le président Américain Ayron ayant abandonné à son sort son allié Israélien et pour cause le premier ministre Ezra Shabon avait rejetté sa demande de placer Al-Qodss sous contrôle international à défaut d'être capitale pour les deux états israélien et palestinien, ayant reçu la confiance du président et du secrétaire d'état Burns et du négociateur principal John Harrod, Anthony Revins reçevait avec la nouvelle année Chrétienne le premier contact avec un groupe de résistance palestinien qui menaçait de faire exploser une caserne israélienne en plein coeur de Tel-Aviv.
Seul dans son bureau avec la coordinatrice de la sécurité extérieure entre le pentagone et le department of state, une musulmane d'origine Américano-Russe, son père étant un indien Iroquois Américain et sa mère une Russe du Tatarstan naturalisé Américaine, Racha Essovtz brillante haut cadre du department of state avait grimpé les échelons un par un et respecté par ses pairs Américains, elle était ce jour-là en train de discuter de la situation en Palestine occupée.
-Nous avons affaire à des djihadistes très différents de ceux qui s'entretuaient il y a vingt ans en Syrie et en Irak. Déclara Anthony Revins.
L'air grave, elle fit:
-Si vous avez le feu vert du président, déclenchez la ligne directe avec Ezra Shabon et conseillez lui d'évacuer le périmètre de la mosquée Al-Aqssaa.
Le responsable Américain leva ses yeux sur la jeune femme, il comprit qu'elle était tout à fait sérieuse.
-Je veux entendre le fond de ta pensée Racha. Lui dit-il.
-Le groupe "Al-Aqssaa ultime bataille" détient la nouvelle arme Bymes et s'ils vont l'utiliser, nous aurons sur les bras au moins deux milles morts, ce ne sont pas les soldats israéliens qui vont mourir mais tous ceux qui seront dans le champs de cette arme. Répliquat-elle.
-Bien, nous devrions convoquer le cabinet de crise car certainement nous avons des Américains là-bas et la sécurité de nos citoyens est notre responsabilité en tant que gouvernement Américain.
Elle fit oui de la tête, en une demi-heure, le président était en réunion avec le chef du Pentagone et le directeur du conseil de sécurité, Burns le secrétaire d'état devait rejoindre incessamment Revins et Essovtz.
-Où vas-tu ? S'enquit Revins en voyant la jeune femme s'éloigner.
-Je sors une minute et je reviens, je dois alerter mon assistante et envoyer un mail au chef du Cia.
Revins lui dit le ton pressant:
- Reviens, le plus vite possible. Tu es notre cerveau en matière de sécurité extérieure.
Racha partit sans lui répondre, elle fut de retour à l'apparition de Burns.
John Harrod le négociateur principal entra peu après, s'asseyant autour d'une table de réunion, relié par satellite avec le président et ses hommes au bureau ovale, la jeune femme prenant la parole brossa un tableau concis et précis de la situation sécuritaire en terre sainte.
-Au regard du rapport que je viens de recevoir, nous n'avons pas à perdre du temps à nous demander que vient faire l'arme Bymes dans les mains du groupe "Al-aqssâa ultime bataille", expliquat-elle, une seule chose doit compter comment arrêter l'imminente attaque du groupe contre la caserne Sholin de Tel-Aviv. 
Le président, l'air soucieux, dit:
-Miss Essovtz, comme je connais Ezra Shabon aucune évacuation du périmètre de la mosquée del Aqssâa ne se fera, pour les maîtres de Tel-Aviv toute concession aux terroristes Palestiniens est inacceptable.
Tous eurent froid au dos quand la voix calme de la jeune femme résonna des deux côtés du Potomac:
-Bien, Mr Shabon fera l'épreuve du feu dans dix minutes, les résistants Palestiniens feront les premiers morts comme premier avertissement.
Le chef du Pentagone recevait à cet instant sur l'écran quadridimensionnel de son siège, les premières scènes retransmettant des photos mobiles des abords de la caserne Sholin.
La ligne directe entre le président et Shabon s'alluma, répondant l'air impassible, Patrick Ayron fit le ton froid:
-Eh! Bien Ezra ! 
Le ton coléreux, l'autre répondit:
-Si ces terroristes vont frapper, nous n'avons qu'une seule alternative.
-Laquelle ?
-Nous enverrons une tête nucléaire exploser en plein milieu de Medine !
Anthony Revins fixant Racha Essovtz releva son air serein, il admira son sang-froid, levant la main, celle-ci attendit que le président lui accorde la parole:
-Monsieur le président laissez les Israéliens bombarder Medine, dans les faits nous ne pouvons rien faire pour eux et je viens d'être informés par notre chef du Cia en terre Sainte que tous les Américains ont été évacués de Tel-Aviv.
Le président et ses hommes dévisagèrent l'air effaré la jeune femme, reprenant le ton absolument sûr, elle déclara:
-Les lieux saints de l'Islam ont un Dieu qui les protège! ce qui compte pour nous maintenant, c'est ceci: le groupuscule de résistants Palestiniens va réaliser par la force des armes ce que les Israéliens n'ont pas lâchés par les négociations!
Le président Ayron étant Chrétien Quaker fit remarquer:
-Miss Essovtz, croyez-vous que si je répéterai ce que vous venez de dire sur les lieux saints de votre religion à nos partenaires Arabes, ils vont me prendre au sérieux ?
La jeune femme eut un sourire étrange:
-Certainement pas et ils vont réclamer à cor et à cri une réaction Américaine musclée contre la folie de notre allié Israélien. Lui répondit-elle.
 Henery Burns le secrétaire d'état déclara alors:
-Pour ma part, je pense que nous devrions faire entendre raison à Shabon et lui demander un retrait tactique des abords de la mosquée Al-Aqssaa.
-Bien, j'aurais fait cela si j'avais vraiment l'intention de mêler mon gouvernement au gâchis de Shabon mais je n'en n'ai pas la moindre envie, fit le président le ton ferme et en dirigeant son regard vers le général Demssey chef du Pentagone et secrétaire d'état à la défense. Ce dernier comprit où voulait en venir Patrick Ayron, il avait gardé le silence depuis le début de la séance, laissant le soin à Racha de répondre parce qu'il savait déjà l'attitude irrévocable du président, et pour lui le militaire quand le civil refuse l'option militaire, il n'a qu'a rester en retrait et à observer. Un silence régna, soudain, une voix retentit étouffée:
-L'épreuve de feu vient de se produire et comme premier bilan nous avons plus de six cent morts à la caserne Sholin!
Les membres du cabinet de crise s'entre regardèrent puis le président appela Shabon:
-Alors que comptez-vous faire Ezra ? Vous avez lancé votre tête nucléaire sur Médine à ce propos ?

-Soyez tranquille, nous avons renoncer de frapper Médine ou la Mecque, nous avons une autre cible plus sensible pour les musulmans, bien entendu nous ne vous dirons pas laquelle, tout ce que j'ai à vous dire, c'est de faire quitter du territoire Israélien à vos ressortissants Américains, car je ne répondrais pas de leur vie, vis-à-vis de l'indignation de la population Israélienne quant à votre trahison Patrick Ayron! Riposta le ton mordant Ezra Shabon, ce fut le vice-président Américain Eric O'Sullivan qui répondit le ton sec:

-Bien, votre message est reçu, nos services de sécurité coordoneront avec les vôtres le départ de nos citoyens et quoique vous pensez de notre alliance, Shabon, sachez que nous ferons tout diplomatiquement pour épargner la vie de votre peuple!

Et fermant la ligne directe entre le bureau ovale et le premier ministre israélien, Eric O'Sullivan échangea un regard significatif avec les présents.

A cet instant, le patron du Cia choisit d'intervenir de son bureau à Langley, au siège du CIA. 

-Nous avons commencé l'évacuation des Américains, j'attends les ordres du président quant à notre personnel diplomatique et je viens d'envoyer à mes collègues israéliens toutes les informations quant à l'identité du groupuscule "Alaqssâa ultime bataille".

Ayron eut un drôle de sourire, une fois de plus il prenait la mesure de l'enracinement de l'appareil sioniste dans l'establishment Américain, le patron du Cia n'avait pas pris l'autorisation du bureau ovale pour échanger ses informations sécuritaires avec leur allié dérangeant de Tel-Aviv!

Regardant l'écran de l'autre côté au department state, le groupe réuni, le président rencontra  le regard de Racha Essovtz et inexplicablement, il comprit, que la jeune femme partageait sa désillusion indescriptible.

-Mr le président, fit-elle

-Oui, Miss Essovtz, lui répondit-il.

-La cible des israéliens est la mosquée del Aqssâa, ils vont la détruire, croyant faire reculer les résistants Palestiniens.

Pour la première fois, le général Dempsey se manifesta par la parole:

-Essovtz je vous prierai d'utiliser le terme de résistant entre nous seulement, les médias ne doivent pas savoir que désormais les terroristes nous les traitons de résistants.

Elle ne fit aucun commentaire, reprenant le ton offensif, le général Dempsey dit:

-Et maintenant permettez Ayron, si nous laissons les Israéliens détruire la mosquée del Aqssâa, nous aurons un milliard de musulmans sur le dos, un milliard de personne en état de guerre tout azimut.

Revins vivement étonné, vit la jeune femme sourire. 

-Qu'avez-vous Essovtz ? demanda le secrétaire d'état à la défense exaspéré par l'assurance de la coordinatrice de la sécurité.

-Le un milliard de musulman ne bougera pas et cela pour la simple raison est que le chiffre exact des croyants musulmans véritable est grandement inférieur à un milliard et les Israéliens, général ne feront pas exploser la mosquée!

Tous les membres du cabinet de crise se tournèrent assomés vers Racha:

-Ils ne pourront attenter à la mosquée del Aqssâa, dit la jeune femme avec gravité, car cette mosquée est le temple de David et Soloman que la Paix soit sur eux deux.

Ayron sentit son cerveau bouillonner, se levant, il fit quelques pas. Ses hommes, à leurs tour sentirent l'extrême gravité de la situation.

John Byken, le chef du Cia, esquissa une grimace:

-Heureux de vous compter parmi nous Racha Essovtz, après plus de deux milles ans l'humanité Chrétienne a enfin apprit la vérité sur le temple de Soloman.

Revins dissimulant son mécontentement, fit:

-Nous devrions plutôt dégager une solution au lieu de lancer des pics aux uns.

Immédiatement, le général Dempsey tempéra l'atmosphère:

-Ne devrions-nous pas être sûr d'abord que les palestiniens de Al-aqssaa sont le seul groupuscule armé sur le terrain actuellement ?

-Justement, il m'est parvenu à la minute présente ce rapport, vous le lisez sur vos écrans. Annonça John Byken le chef du Cia.

Les têtes se penchèrent d'un même mouvement vers l'image mobile et ils eurent tôt fait de constater que quatre autres groupes de résistants s'étaient déployés sur tout le territoire de la Palestine 1948 et 1967.

-Mais que font-ils dans leur propres état ? s'exclama Patrick Ayron.

Personne ne sut que lui dire, le chef du Pentagone donna la parole à Racha, celle-ci fit de sa voix sereine:

-Le microscopique état palestinien établie en 2029 n'est pas reconnu par la plupart des résistants palestiniens armés.

Burns observa judicieusement:

-Je crois Patrick que nous avons besoin d'un homme à Tel-Aviv pour contrôler la situation, les Israéliens ne nous faisant pas confiance, nous avons besoin d'un officiel Américain là-bas qui a ta confiance et qui aura pleine prérogatives pour agir de connivence avec nos hommes ici et les généraux basés à Manama et à Frankfurt et à Lagos.

Le président, revenant s'asseoir fit:

-Il n'est pas toujours question pour nous d'intervenir tant que la situation est encore prévisible, bien entendu si les résistants ont l'arme nouvelle Bymes, ils doivent être en possession d'autres armes plus dangereuses et envoyer un de nos hommes là-bas est vain car aucun de nous ne connait la nature du conflit comme le connait Racha Essovtz!

Ainsi cité, Racha maintint sa tête baissée.

Dempsey dit:

-Bien, que Racha Essovtz soit notre homme chez nos alliés Israéliens.

Revins riposta:

-Si Racha part pour Tel-Aviv, j'irais avec elle.

Le président malgré lui eut un sourire:

-Bien, c'est entendu vous irez avec elle, êtes-vous d'accords miss Essovtz?

Elle dit le ton clair:

-Oui, Mr le président.

Burns s'agita dans son siège:

-Et maintenant si nous pensons à la déclaration officielle de la Maison-Blanche quant aux évènements en Israël, mon homologue Chinois est en train d'insister pour me parler tout de suite et nous devons penser au congrés et au tintamarre du quatrième pouvoir...

A nouveau, les hommes écoutèrent le président. En quelques minutes, une stratégie fut arrêté pour parer aux prochaines étapes de la confrontation militaire au coeur de la Palestine. Le cabinet de crise sera élargie aux différents services concernés et sera en réunion permanente par l'entremise des  caméra et micro vissés aux cols de ses membres.

En quittant la salle de réunion et en se dirigeant vers son étage, Racha se retrouva seule avec Anthony:

-Pourquoi venir avec moi ? Lui demanda t-elle.

-Tu es musulmane et je sais qu'en Islam tes pires ennemis sont les maîtres d'Israël, donc je ne peux moralement te laisser seule avec eux. Lui dit-il.

La jeune femme répondit par un seul mot:

-Merci.

-Et il y a autre chose qui me fait agir comme je l'ai fait mais c'est une chose plus personnelle et que tu refuseras d'écouter dans les circonstances  actuelles, c'est pourquoi je te demande à l'instant si nous survivons au chaos qui s'est déchaine, le droit de t'en parler. Déclara le bras droit du négociateur principal dans le dossier Palestino-Israélien.

Sans le regarder et ouvrant la porte de son bureau, Racha Essovtz répondit avant de la refermer derrière elle:

-Oui, Revins je  vous accorde ce droit si nous restons vivant inshâallah.