قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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الثلاثاء, 20 تشرين1/أكتوير 2015 08:56

Dans le Golfe, l’argent plutôt que l’accueil

كتبه  par Akram Belkaïd
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Mais pourquoi les pays du Golfe ne font-ils rien pour les réfugiés ? » Omniprésente sur les réseaux sociaux comme dans toute la presse mondiale, cette question jette une lumière crue sur le refus des monarchies pétrolières d’accueillir les Syriens — ou les Yéménites, dont on parle peu — qui quittent leur patrie. Aucun des six membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) (1) n’est signataire de la convention de Genève relative aux réfugiés et n’a de législation permettant à des ressortissants fuyant un conflit de s’installer sur leur sol. Il n’est donc pas question pour eux de laisser s’installer des camps de réfugiés.

En 1948 déjà, le royaume saoudien fermait ses frontières aux Palestiniens chassés par la création d’Israël au prétexte qu’il n’avait pas les moyens de les héberger. Aujourd’hui, ces six pays parmi les plus riches au monde insistent sur le fait qu’ils financent la prise en charge humanitaire des Syriens, notamment au Liban et en Jordanie. Le Koweït devrait ainsi débourser un total de 304 millions de dollars en 2015 au profit des agences de l’ONU, tandis que l’Arabie saoudite a débloqué 20 millions de dollars pour les camps jordaniens, quand les Etats-Unis — premier donateur — s’engagent pour 1,1 milliard dans l’ensemble de la région.

« Les pays du Golfe préfèrent mettre l’accent sur l’aspect financier plutôt que d’ouvrir leurs frontières », observe Sarah Leah Whitson, directrice pour le Moyen-Orient au sein de Human Rights Watch. Dans les faits, la situation est un peu plus contrastée. Si l’Arabie saoudite n’a plus délivré de permis de travail aux Syriens depuis 2011, les Emirats arabes unis en ont tout de même accueilli 150 000 depuis le début des hostilités. « Cela se fait au cas par cas, explique un expatrié maghrébin installé à Abou Dhabi.Le plus souvent, ce sont des gens qui ont déjà de la famille dans les Emirats et qui peuvent y trouver du travail. Pour les autorités, il est hors de question de provoquer le moindre appel d’air. » Dans tous les cas, la règle fondamentale imposée à ces chanceux est la même : la moindre activité politique en rapport avec leur pays d’origine leur est interdite.

Akram Belkaïd

Journaliste.
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