Le ministre de la défense fit le ton direct :

-Cela va être franchement difficile, nous devons remonter à 1962, revoir les archives et nous avons une bonne partie qui n'a pas été mémorisés retrouver une tracabilité des biens usurpés est quasi-impossible.

-Nous devons revoir le services de tous les gradés, nécessairement nous devrions nous référer à l'état des lieux de l'époque, il y a une chose à laquelle j'ai pensé   général.

-Laquelle ?

-Ce qui nous fait cruellement défaut est le témoignage des témoins qui ont  travaillés à l'époque à proximité, pratiquement, nous n'avons pas de survivants mais nous pouvons lancer un rappel de mémoire addressés aux anciens employés. 

- C'est un processus long et nous sommes rattrappés par le facteur temps, fit observer le ministre de la défense.

-Je dois tenter le tout pour le tout, au cas où la présidente sera réelue pour un second et dernier mandat, nous pouvons compter dessus- et l'une de mes priorités à court terme est de revoir le code pénal, il n'est pas question d'une refonte mais d'un changement dans le fond.

Au même moment, la présidente était  en réunion avec le super conseiller de l'enseignement et de la culture.

-Une des grandes difficultés à lesquels on est confrontés est l'introduction d'une méthodologie électronique où à franchement parler la présence virtuelle du professeur est mal accueillie, nous ne devons pas oublier que nous avons des couches défavorisés au niveau d'instruction médiocre, qui refusent de s'adapter de façon à pouvoir aider leurs enfants scolarisés. Expliquait Rajâa Thaoui.

-C'était à prévoir ! Nous avons justement essayée de palier à ce rejet par un préambule où tous les parents sont astreint à deux séances chaque semaine durant un mois pour leur expliquer si j'ose dire le mode d'emploi de la nouvelle méthodologie électronique, nous l'avons simplifié du mieux que nous avons pu. Si nous voulons aller de l'avant et consacrer l'effort l'argent et les infrastructures à la recherche, nous devons faire le pari de l'enseignement numérique.

-Je crois que nous devrions intégrer un programme online qui peut prendre en main et d'une manière intelligente les élèves, ainsi nous pourrons épauler les parents en difficulté, qu'en pensez-vous  ? Suggéra le super conseiller.

-Excellente idée, et il doit y avoir un suivi, nous devrions revoir les résultats des élèves chaque fin de semestre, de même pour les étudiants, et il faut aussi qu'on puisse faire une synthèse des besoins pour les inscrire dans le futur programme d'enseignement général quant à l'enseignement supérieur, nous devons revoir les assises de la recherche scientifique pour répondre aux préoccuppations de nos savants et jeunes chercheurs en herbe. Expliqua Chamss Al-Hakh.