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Ils prirent un taxi qui devait les mener vers un quartier de la banlieue nord de la capitale Chinoise. Là, était bâti des pavillons isolé l'un de l'autre et entouré de barrière délimitant jardin et intérieur. S'étant attendu à trouver une personne affaiblie et en convalescence, la jeune Africaine fut surprise de voir la porte d'entrée ouverte par leur hôtesse, une vieille dame alerte et aimable.
Hanan s'enquit :
-Puis-je la filmer pendant une dizaine de minute ?
Posant la question, Su obtint un oui cordial.
-Remercie là
-Bien, je voudrais qu'elle se présente et nous raconte son épreuve, fit Hanan et traduisez au fur et à mesure.
Un échange de parole entre le jeune homme et sa parente par alliance fit dire à cette dernière :
-Venez, je vais préparer du thé et un goûter et je vous dirais comment tout cela a débuté...
- Il n'est pas nécessaire le thé, objecta le reporter le ton impatient.
-On ne peut dire non à une marque d'hospitalité, fit l'interpréte.
Dans la petite cuisine proprette, Hanan s'assit et tout en filmant, elle prêta une oreille attentive au récit de la vieille dame.
-Je m'appelle, Kan Jiang, je suis une infirmière retraité, veuve depuis six ans, je vis dans ce pavillon avec deux de mes petites-filles. Comme j'ai une solide culture médicale, dés que j'ai appris par l'intermédiaire d'une infirmière de Wuhan l'apparition du virus Sars cov 2, je compris qu'à nouveau il y a eu consommation de Wunshungzi-wunshungzi est la peau et le sang de chauve-souris morte qui doivent se vendre réfrigéré parce qu'ils pourrissent sans cela mais que nos vendeurs du marché clandestin de Wuhan vendent non réfrigéré et d'une manière illégale le plus souvent. L'infirmière de Wuhan m'avait donné assez de détail sur le virus avant d'être testée elle-même positive, depuis j'ai perdu tout contact avec elle et c'est au cours d'une de mes sorties au temple que j'ai été infecté, imaginez j'étais parti pour prier demander la santé et la vie sauve à tous ceux que je connaissais et voilà que je me sens tout autre à mon retour!
