J'avais 17 ans en vacances avec la famille à Genève, à l'époque j'était une écrivaine en herbe et j'avais appris à me documenter et comme la prochaine nouvelle que je devais écrire était centré sur une moto BMW, je me promenais l'air curieux soudain on étaient passés par un parking de moto.

Là, je me séparais de ma famille, sans les prévenir comme à l'accoutumée, d'ailleurs je connaissais l'adresse de notre hôtel.

Et puis mes parents s'ils me voyaient disparaitre, ils ne s'inquiètaient pas trop. Puisque on me nomme à la maison Calamity Jane, je devrais être dans l'une de mes investigations.

Le parking m'attira, j'entrais et soudain une moto BMW vint stationner le conducteur enleva son casque, la cala bien et sûr de l'avoir bien fermé, il était parti à grand pas.

M'étant assuré que le conducteur avait disparu, je m'approchais, le moteur était encore chaud je me penchais et mettant lourdemment et imprudemment la main sur le siège, l'engin déséquilibré se renversa , catastrophe !!!L'aile de l'engin était tombé sur ma cheville et me brûla.

Je voulus soulever la moto impossible, trop lourde et la douleur de ma cheville brûlé et écrasé me faisait  craindre le pire et j'étais seule sur le lieu.

Enfin, j'entendis une voix, je me tournais c'était le conducteur qui était revenu :

-J'ai tout vu mademoiselle, pourquoi cette curiosité déplacé ?

Froidement, je lui avait répondut :

-Enlevez votre engin ensuite je vous dirais le pourquoi de cette curiosité.

Il s'exécuta, je respirais et je retirais rapidement ma cheville car le conducteur avait l'intention de s'y  pencher et de retirer mon bas et mon soulier :

-Cela va bien, ce n'est qu'une brûlure pas trop grave, merci, m'étais-je empressée de lui dire .

-J'attends alors une explication .

-C'est simple, j'écris des nouvelles et je me devais d'observer de très près une moto BMW, votre engin va être le véhicule principal de mon héroïne, c'est tout.

Remettant son casque, l'inconnu :

-Vous êtes de quelle nationalité ?

-Algérienne.

IL avait sourit et était partit sans commentaire.

Ayant rejoint mon père à la réception de l'hôtel, il m'avait demandé :  

-Où étaits-tu Afaf ?

-J'étais dans un parking de moto, Baba.

Mokhtar Aniba m'avait dévisagé un instant étonné puis le ton rapide ; il m'avait ordonner  :

-Moi je vais me reposer, rejoins ta mère sur le lac pour des glaces.