NATHER ARRIVA à MELBOURNE VERS DIX HEURES, il prévint le père de Rouh :

 Passez prendre avec nous le déjeuner, fit ce dernier .

La jeune femme apprenant l'arrivée de son associé pour le repas de midi, se mit à la cuisine.

Une fois que la table fut mise, la sonnette retentit, le père de Rouh alla ouvrir. Nather reçut un excellent accueil, dans le salon qui donnait sur le jardin, il discuta de nombre de sujet d'actualité puis Rouh apparut. Elle le salua l'air paisible et les invita à passer à table.

Le déjeuner fut pris en silence, une fois desservit, elle prépara le thé rouge et vint s'asseoir près de son père.

-Bien Nather, écoutez la décision de ma fille d'abord quant à votre association je vous prie.

Le jeune homme attentif fit oui de la tête :

-Comme je vous l'ai déjà dit, je veux mettre fin à notre association et reprendre mes actions, j'étais contre la signature du dernier contrat et pourtant vous avez passé outre alors que je posséde la moitié des actions de la compagnie. Annonçat-elle.

-En effet Rouh, tu n'étais pas d'accords et comme l'association est moitié moitié j'ai cru que ce n'était pas une opportunité à ne pas rater, n'oublie pas que nous avons une perte séche à cause du Coronna de 300 millions de dollar sur une année entière et nous avons le fisc à payer et nous sommes en retard de deux semestres, s'expliqua Nather. Un silence se fit puis  de sa voix aérienne elle fit  : 

-Vous parlez de la nature de nos difficultées financières mais vous passez sous silence que le contrat signé stipule un transfert de technologie d'écoute à un dictateur Arabe et de cela je n'en veux pas ou bien on fait du travail propre ou bien non à l'argent sale.

Le père de Rouh fixa Nather. Ce dernier troublé baissa la tête un moment puis murmura "J'étais acculé et j'ai la responsabilité d'une compagnie, ma carrière et..."Il s'interrompit. Un long silence régna dans la pièce

Relevant la tête enfin Nather fit le ton résolu :

-Rouh si je te promets de rompre ce contrat de malheur, voudrais-tu m'épouser ?

La jeune femme tourna son regard vers son père :

-J'ai confiance en ton jugement BABA QUE DOIS-JE LUI RéPONDRE ,

Le père sourit :

-Donne lui une chance..............................................

Fin