قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الأربعاء, 03 آب/أغسطس 2016 10:13

A Volterra l'inconnu 7

كتبه  Afaf Aniba
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- Escusa signora Koslic, vous êtes en retard, résignez vous, votre défunt mari a une belle tombe chez nous. 

« Me résigner !! » Le hurlement poussé par son cœur retomba contre le mur de son ! Les épaules affaissées, elle était repartie le lendemain à Motsar. Le vent, chassant la neige, balaya la grande pièce lui mettant sur le bout des doigts le contact réche et inerte de la main de Izet Koslic. Six ans après sa première tentative, elle était là, seule, à se demander quoi faire ? Et si cette dernière tentative se soldait aussi par un échec ?

Zakariya, fermant les volets, déclara, le ton mécontent :

- Pourquoi ne charges-tu pas un avocat d’ici pour qu’il défende notre cause ?

Elle eut un sourire plein de dérision :

- Où est l’argent, Zakariya ?

Revenant s’asseoir derrière le pupitre marqueté de cuivre, elle se remit à écrire. Contournant le meuble, son neveu lui montra les cadrans d’une horloge :

- Il est l’heure du déjeuner, lui dit-il.

- Vas-y, je te rejoins.

Elle n’avait pas faim et comme le jeune adolescent s’impatientait, elle se reprochait son manque de ressource. En descendant dans la salle de restauration, elle laissa à Zakariya le soin de commander le menu. Celui-ci le fit en prenant soin d’éviter les plats chers et non-conformes aux prescriptions de l’Islam. En relevant les yeux, il croisa le regard las de Richard Kent. Il s’en détourna pour dire à sa tante :

- Pourquoi ne pas faire appel à la Croix Rouge Internationale ? Ne sont-ils pas représentés ici et c’est eux qui t’ont prise en charge avec mon oncle Izet défunt ? 

Celle-ci fit le ton net :

- Je me suis déjà adressé à eux. Ils sont incapables de nous aider. Tout leur pouvoir se résume à l’aide humanitaire qu’ils effectuent à travers les transferts de patients aux organismes hospitaliers de la région. 

Le jeune neveu voulut objecter que le temps filait :

- Zakariya aie confiance en Dieu et maintenant mangeons, le devança t-elle.

Le serveur mettait devant chacun une soupe de poissons.

L’avocat, fuyant la spirale du souvenir, orienta tout son intérêt sur l’heure présente. Il était venu entreprendre une quête de la vérité. Paolina avait laissé échapper une phrase significative : « Je ne suis plus sur ton parcours. » A rebrousse temps, il devait réactiver son instinct d’investigateur. « J’ai vécu avec elle assez longtemps, y compris l’éternité qui a précéder notre rencontre, pendant ce temps où nous étions inconnus l’un pour l’autre. Cependant, unis par un fil invisible tendu par la main éternelle, j’ai suffisamment vécu avec elle pour savoir qu’elle était le meilleur de moi-même. Paolina a été la partie intacte, intouchable de mon devenir d’homme et pour avoir pensé à la séparation, elle devait buter sur des doutes dont j’ignore la nature. La vitalité de nos sentiments réciproques était réelle, elle ne m’a jamais reproché quoi que ce soit quant à l’intensité de mon engagement envers elle, ni elle n’a montré du doigt mon amour de la justice. Je n’ai jamais décelé en elle la moindre réprobation pour mon sens de l’équité : « Tu es un peu Robin Wood au milieu de la jungle Américaine. » Me disait-elle, en  voyant ma rage contre les mauvais jugements des tribunaux. Brusquement, il sentit quelque part un trou d’ombre. Paolina, en se mariant, avait renoncé d’elle-même à une carrière d’informaticienne, elle préferait être présente à plein temps dans le vie de son mari .  

- Monsieur n’a rien mangé ! Votre repas a refroidi, remarqua le maître d’hôtel. Une fourchette en l’air, il l’abaissa et dit :

- Je n’ai plus faim, l’addition s’il vous plaît.

L’autre obtempéra.

Goûtant au soufflet de poire, Zakariya suivit du regard la retraite de l’avocat. « Il a l’air miné par quelque chose, ce monsieur. » Se dit-il en son for intérieur. Sofia n’avait pas levé les yeux de son assiette. L’animation du lieu avivait en elle une ardeur de vie insoutenable.  Devant l’ascenceur, Gabriella surgit :

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