قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

image-home

لنكتب أحرفا من النور،quot لنستخرج كنوزا من المعرفة و الإبداع و العلم و الأفكار

الأديبــــة عفــــاف عنيبـــة

السيـــرة الذاتيـــةالسيـــرة الذاتيـــة

أخبـــار ونشـــاطـــاتأخبـــار ونشـــاطـــات 

اصــــدارات الكـــــاتبــةاصــــدارات الكـــــاتبــة

تـــواصـــل معنــــــاتـــواصـــل معنــــــا


تابعنا على شبـكات التواصـل الاجتماعيـة

 twitterlinkedinflickrfacebook   googleplus  


إبحـث في الموقـع ...

  1. أحدث التعليــقات
  2. الأكثــر تعليقا

ألبــــوم الصــــور

e12988e3c24d1d14f82d448fcde4aff2 

مواقــع مفيـــدة

rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الأحد, 04 آب/أغسطس 2013 09:35

Un jour dans la vie d'une famille Gazaoui 7

كتبه  Afaf Aniba
قيم الموضوع
(0 أصوات)

Le plus jeune m’apostropha l’air perplexe :

Que va-t-il se passer maman ?

 Je rassemblai tout mon courage et toute ma foi pour répondre :
 

  Je ne le sais vraiment pas les enfants, Dieu seul le sait mais nous devons être prudents.

Salma survint :


  Tu veux dire qu'une fois la fin de la trêve, soit dans deux jours, nous ne savons pas ce qui va se passer maman ?

  Oui et non, l’ennemi veut se venger de notre endurance et du fait que notre peuple défend son gouvernement. Mais voilà Selma, que va faire exactement l’ennemi ? je ne le sais pas.

À nouveau, Abdel Raouf intervint :


  Moi je le sais maman !

Je le regardais avec tout l’amour d’une maman et je lui dis calmement :

Que sais-tu Abdel Raouf mon grand garçon ?
 

 Abdel Raouf fit d’une petite voix :


  Il va y avoir la guerre et nous n’avons pas de quoi nous défendre maman !

Je ressentis une immense colère contre notre dénuement cependant je me reprenais très vite :

  Voyons mon enfant, nous avons ce que n’a pas l’ennemi, notre foi dans la justesse de notre cause et notre foi en Dieu.

Je me rendis compte soudain que l’enfant ne pouvait comprendre ce que je disais.


  Si maman, je comprends.

Il semblait lire mes pensées. 
- C’est ce que notre instructeur à la mosquée nous a dit, poursuivit Abdel Raouf, mais va-t-on toujours rester comme cela désarmé devant la méchanceté de l’ennemi ?

Je n’eu pas le temps de répondre car Selma me prit la parole :

Vois-tu maman, parfois je me dis que ces occupants sionistes, beaucoup d’entres eux, et leurs parents, ont souffert le martyr avec les nazis pourquoi nous traitent-ils de cette manière inhumaine ? J’ai beau m’interroger, je ne cesse de réfléchir pour trouver une réponse sensée, je ne la trouve pas.

Bouleversée, je me détournais. Je voulais pleurer «  Oh Mon Dieu que leur dire ? »

  Tout à coup je vis le visage de Ahmed mon défunt mari devant moi «  Hadia apprends leur ceci que tout à une fin, qu'un jour viendra et nous serons libres et nous devrons travailler pour ce jour. »

Je me composais un visage serein, je souris aux enfants :  

Promettez moi de ne jamais désespérer et de croire dans notre délivrance. Un jour certain les enfants, un jour certain tout cela prendra fin et nous serons libres et en sécurité.

Selma eut un large sourire :

Oh oui ! Dieu récompense toujours ses créatures patientes. Allons mes chers petits, songeons à l’aventure du bain demain In Châa Allah.
Et le sourire revint sur les mines ingénu.

 
Okba rentra avec un visage rayonnant peu avant la prière du Maghreb, celle du crépuscule. Il nous raconta sa journée...

 
  Je travaille dans un collège dans la bibliothèque, classant les livres et les prêtant aux écoliers et imagine maman, la directrice m’a dit qu’elle allait faire tout son possible pour que je puisse poursuivre en même temps mes études ! Tu peux dire que ton fils Okba est le conservateur de la bibliothèque du collège Salah Eddine.
 
 Ecoutant mon ainé, je remerciai chaudement Dieu en mon for intérieur. Poursuivant, il dit :

Je suis bien rétribué ma chère maman et dés aujourd’hui il m’ont donné l’équivalent de 25 dollars un avancement.


Je voudrais que tu me conduises au monsieur qui t’a trouvé ce poste, je dois le remercier mon fils, ai-je déclaré très émue en recevant l’argent de ses mains.

Ce soir-là je pris à part Salma pour lui parler.

Salma me regarda l’air interrogateur en me voyant revenir vers elle après que j’ai mis le repas de Okba devant lui.
 
Ecoute ma fille, j’ai à te confier certaines choses et tu dois me promettre de prendre mes instructions au sérieux.

قراءة 1762 مرات آخر تعديل على السبت, 17 تشرين2/نوفمبر 2018 15:08

أضف تعليق


كود امني
تحديث