قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الجمعة, 25 نيسان/أبريل 2014 07:14

Californie, Los-Angeles, Santa Monica II

كتبه  Afaf Aniba
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Double Trees était un hôtel cinq étoiles, à peine éloigné de la plage de quatre cent mètre. Ma suite vaste et agréablement aéré, j’appréciai la luminosité du jour Californien, cela me rappelait un tout petit peu la lumière solaire de mon cher pays.

Je m’installais en veillant à prendre une cuillère de mon sirop, tant bien que mal, j’arrivais à juguler ma rhinopharingyte. Un appel de Sara m’apprit que je devais les rejoindre en bas dans une heure :

-On doit songer à prendre notre dîner dehors, m’avait-elle dit.

Après la prière, je me reposais. Puis me rendant downstairs, je retrouvais notre interprète qui réclamait un changement de chambre, ce qui fut fait en dix minutes.

Une fois dehors mon amie Tunisienne nous avait demandé :

-Voulez-vous aller au restaurent ou achetez des sandwichs et dîner à l’hôtel ?

Nous avons opté pour la seconde solution :

-Bien, commençons par prendre connaissance de notre environnement, fit-elle.

Sitôt dans une avenue, je priai la Jordanienne de me prendre en photo avec Sara, cette dernière détestant les photos se plia de bonne grâce à ma demande. Six heures de l’après-midi un vent magistral soufflait et l’océan Indien au loin tentait les promeneurs. Je vérifiai mon appareil photo pour prendre de nouvelles prises. Parfois, je me détachais du groupe pour allonger le pas, traverser une route et descendre le chemin goudronné jusqu'à la plage.

Un établissement luxueux donnait sa façade sur le sable fin, une mustang me dépassa dans un vrombissement pour tourner dans une cour intérieure ombragée d’arbres exotiques.

Pendant un instant, je suivais le mouvement de la clientèle puis je me désintéressai, trop pressée de fouler le sable de la plage.

Le groupe venait à l’arrière. Une fois mes souliers dans l’eau, je contemplai fascinée cet océan Indien et je revenais vers un passé lointain, un certain jour de l’année 1977, j’étais descendue en compagnie de ma famille à une plage de l’ïle de Java, en Indonésie. L’océan Indien m’avait fait le même effet, on ressent que nous sommes en présence d’une mer à la profondeur inhabituelle. Une majesté qui se dégage lentement de l’ensemble du paysage, les vagues énormes, et la couleur de l’eau d’un vert nuancé produise une impression infinie sur la personne.

-Afaf, on repart.

A regret, je remontais la pente. En passant devant un restaurent, les portes encore closes, on devait continuer jusqu’au premier mall.

Une fois arrivés, Sara m’interrogea :

-Que dirais-tu d’un plat de spaghetti avec du poisson ?

Je relevais :

Spaghetti et poisson !

-Sors de l’ordinaire, m’avait dit mon amie Tunisienne.

-Ok.

Elle prit le même plat que moi, nous avons achetés salade et fruit à un stand Latinos.

-Nous reviendrons plus tard, annonça Abou Youssef, il était fatigué, c’était évident. De retour à Double Trees, j’avais entendu le Palestinien dire :

-Demain debout dés sept heures, le trajet est long et Monsieur Mansur

ه devrait nous recevoir dés neuf heures moins quart, bien entendu nous sommes invités à déjeuner avec lui.

Dans ma chambre, encore une cuillère d’antibiotique et ayant fait ma prière du Maghreb, je prenais tranquillement mon dîner. Vers huit heures du soir, j’appelais ma chère mère. Ravie celle-ci m’avait demandée :

-Alors l’Ouest Américain Afaf ?

-Eh bien c’est l’Ouest ! Ce qui m’a frappé particulièrement est l’océan Indien. De revivre ce moment d’arrêt devant le mur d’eau est tout simplement indescriptible.

-Je comprends, bien et pour ta gorge cela va bien ?

-Oui, Alhamdullillah, dans un jour cela ne paraitra plus.

-Alors excellente continuation ma chère fille. 

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