قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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الثلاثاء, 10 حزيران/يونيو 2014 10:00

Californie, Los-Angeles, Santa Monica VIII

كتبه  Afaf Aniba
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De retour à Double Trees, nous avons croisés le chemin de notre future hôtesse venu faire la connaissance de ses invités pour le Thanksgiving du lendemain soir, dernier jour à passer à Los-Angeles.

Elle m’avait fixé pendant une longue minute puis ayant tendu sa main, elle m’avait dit :

-Je présume que vous faites partie du groupe des visiteurs internationaux de interfaith dialogue ?

J’approuvai et je me présentais. Mme Dorra Noris était une dame retraitée d’une soixantaine d’année, elle nous avait mis à l’aise tout de suite en demandant notre avis sur Santa Monica. Puis elle s’était enquis de nos préférences en ce qui concerne la cuisine, la dame Jordanienne s’entretint longuement avec elle du menu de Thanksgiving.

En remontant peu après à ma chambre, je prenais mon appareil photo et une nouvelle pellicule par mesure de précaution. Je m’apprêtai à descendre quand le téléphone résonna, je m’empressai de répondre.

-Chère Afaf bonjour, c’est moi Judy.

Je n’en revenais pas, mon amie de l’Illinois savait la date de mon arrivée en Amérique et elle connaissait mon périple. Dés le départ, j’avais espère la voir à Washington mais il s’était avéré impossible.

-J’ai su que vous êtes actuellement en Californie, et je me suis dit qu’avoir de vos nouvelles est nécessaire surtout que j’ai une excellente nouvelle à vous annoncer, m’avait-elle dit.

-Oh qu’est-ce que c’est Judy je vous en prie ?

-Eh bien mon mari et moi on va vous retrouver en Alabama dans trois jours, on arrivera par voiture le temps est plus ou moins clément en ce début d’hiver.

Ravie, j’applaudissais, enfin j’allais pouvoir rencontrer pour la première fois de ma vie une amie Américaine que j’ai connu par l’entremise d’un parent, une longue correspondance s’était ébauchée entre nous durant une quinzaine d’année

 

J’avais hâte d’être en Alabama, plus tard, je confiai cette excellente nouvelle à Sara :

 

-Eh bien ! Je suis heureuse pour toi et maintenant, Afaf prend le temps de t’amuser, les studios sont un formidable parc d’attraction et tu as le choix entre te promener dans un site magnifique ou à participer à des jeux.

 

Je ne disais rien, en montant dans le van, je demandais :

 

-Combien de  kilomètres doit-on parcourir pour y arriver ?

 

-C’est à moins d’une heure d’ici madame, m’avait répondu le chauffeur.

 

Durant le trajet, je revenais à mes notes.  Sara était soulagée de me voir silencieuse, ayant peur de doucher l’enthousiasme du groupe qui se promettait une belle journée. Elle était loin de se douter que j’avais l’esprit projeté sur le dîner de la soirée sur le ponton de Santa Monica. A un moment, grimpant le flanc d’une colline, je distinguai au loin les lignes du parc d’attraction. Le parking immense, le chauffeur nous avait déposé à quelques pas de l’entrée et s’en était allée. A notre appel, il reviendrait nous chercher, c’était ainsi convenu.

 

La chose qui me déplut dés l’abord, c’était les trois files d’attente pour acheter les tickets d’entrée !

 

-Va te promener quand nous en aurons finis, je t’appellerai, m’avait assurée Sara.

 

Je regardai autour de moi, j’aperçu une allée du côté est, l’endroit était boisé, très vert et frais, je me dirigeai tout en faisant comprendre par des signes de la main à Sara ma destination.

 

Elle avait acquiesçai tout en répondant à notre collègue Jordanienne qui ne comprenait pas mon impatience :

 

-Afaf déteste perdre du temps ! 

.

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