قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الأربعاء, 10 آب/أغسطس 2016 10:10

A Volterra l'inconnu 10

كتبه  Afaf Aniba
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Comment serais-je capable de lui parler tandis que j’ignore tout du langage des signes et puis de quel droit je lui impose ma curiosité ? » Se demandat-il.

Un coup sur la porte détourna son attention. Une femme de chambre apparut :

 - Je m’excuse monsieur, ,j’ai oublié ce matin de renouveller l’eau des vases, fit-elle embarrassée.

- Faites-le maintenant si vous voulez, répondit-il l’air distrait.

Revenant à la banquette, il pensait à un motif suffisament sérieux à invoquer à sa voisine.

- Oh monsieur ! Fit soudain la femme. Agacé, il dit :

- Qu’y a-t-il ?

- Ce portrait, je l’ai déjà vu ici ! Fit encore l’employée. Faisant volte-face, il la regarda très étonné. Elle lui désignait de la main le cadre de Paolina :

- QUOI ? Fit-il interdit.

Hochant de la tête, l’Italienne affirma :

- Si,si. Cette dame figure dans une photo exposée chez la dame sourde-muette de l’étage.

La respiration lui manqua pendant un instant. Il dû maîtriser son émoi visible et dire d’une voix mal assurée :

- Vous devez sûrement confondre. Cette femme est ma défunte femme !!

- Je ne me trompe pas monsieur et une telle ressemblance n’existe pas, à moins qu’il s’agisse de sœurs jumelles. Madame votre femme avait-elle une soeur jumelle ?

- Non, fit-il catégorique. Je ne connais pas ma voisine, ni ma femme ne la connaît puisque elle est morte depuis quatre ans.

- Je suis désolée monsieur, je suis bien sotte de me mêler de ce qui ne me regarde pas, fit la femme de chambre navrée.

Il demeura silencieux. Le doute s’était emparé de lui. Ce qu’on venait de lui  rapporter l’incitait à agir : « Je dois inventer n’importe quoi et franchir le pas. Je devrais m’habiller et descendre, peut-être que je verrais l’adolescent, son compagnon ou cette guide.» Se dit-il en remuant. En bas, il ne vit personne. Il attendit une demi-heure et dû retourner à sa suite.

Il eut une nuit agitée. A l’aube, il fit un rêve sans queue ni tête. A son réveil, il s’attarda dans le lit. Paolina aurait aimé avoir des enfants ; je refroidissais son ardeur dés qu’elle ramenait sur le tapis le sujet :

- Pas maintenant, dans un an ou deux oui ; ,je ne puis me remettre entièrement sur Frank Rebowld, il ne faut pas perdre de vue un fait : ces enfants devraient être aimés et pris en charge totalement, leur éducation ne doit pas être prise à la légère ! Disait-il à sa femme.

- Evidemment, lui affirma-t-elle, mais pense aussi que je ne pourrais convevoir normalement à quarante ans !

Elle devait endurer mon intraitable détermination. Je lui assurais, le ton charmeur :

- Ta patience sera récompensée chérie, je ne suis pas homme à manquer à ma parole !

« Oh que oui ! » dit-il à haute voix, dans la salle de bain. Il passa une main sur son visage, une barbe naissante lui mangeaient les joues, le menton naguère ferme pendait pitoyable.

- Je dois être présentable, fit-il à haute voix. Une vingtaine de minute plus tard, il passait devant la réception, le pli du pantalon impeccable :

- Un instant monsieur Kent ?

Ainsi interpellé, il s’arrêta :

- Oui ?

- Votre courrier, monsieur ! Dit Sacci en lui remettant deux lettres. La mémoire courte, Richard Kent avait oublié la carte que lui avait signalé Frank. Il se raidit, en lisant l’envers du papier cartonné « Je me raccroche à vous comme une noyée à une boué de sauvetage, ne me renvoyez pas avant d’avoir tout tenté ! »

Il ne voyait pas venir Gabriella Sotti :

- Avez-vous des lettres pour madame Koslic ? demanda t-elle.

Fourrant lettre et carte dans une poche, il se retourna vivement et le ton aimable, il dit :

- Bonjourno Signorina, puis-je vous parler ?

Gabriella fit spontanément :

- Ah, le monsieur de l’église !

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