قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الأربعاء, 24 آب/أغسطس 2016 09:54

A Volterra l'inconnu 15

كتبه  Afaf Aniba
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- Monsieur le procureur Flemi vous prie de le rappeler à ce n°.

- Merci.

Gabriella debout devant une boutique de souvenir gagna les ascenceurs :

- Je vous laisse madame.

Sofia baissa la tête en signe d’assentiment. Kent parti, elle aperçut Gabriella. Prenant sa main, elle dit :

- Nous allons quitter Volterra.

Etonnée, la guide monta à leur suite :

- Pourquoi ?

- Parce que d’ici demain tout sera fini. Répondit cette fois Zakariya.

Quatre heure sonnait à l’horloge du hall quand Kent reparut. Prenant l’ascenceur, il alla frapper à la porte de madame Koslic. Elle ouvrit :

- Ca y’est tout est réglé madame, annonça t-il.

Elle s’effaça devant lui :

- Entrez .

Zakariya lui passa un siège :

- Le procureur de Florence a envoyé de fermes instructions au bureau du maire ici. Le premier conseiller de l’ambassade Bosno-Croate a chargé le comité de solidarité Italo-Bosniaque de prendre à son compte les frais du transfert. Je puis vous dire avec certitude qu’un avion de Florence transportera la dépouille de votre mari au plus tard demain soir .

Joignant les mains, Sofia psamoldia en son for intérieur une prière de grâce :

- Zakariya dis lui que nous lui sommes redevable ; nous prions Dieu de le soutenir et de le guider .

Son neveu transmit fidèlement :

- Je l’espère, fit Kent.

Il faisait sombre dans la grande pièce. Sofia alluma, puis, écrivant sur du papier lettre, elle le remit à l’avocat. Celui-ci lut lentement :

- Monsieur Kent voici les dernières paroles de Paolina avant de nous séparer chacune vers son destin « Ce séjour à Volterra, ,j’aurais voulu yn associer mon mari, à ces promenades et randonnées dans la neige, l’arracher à ses affaires est préjudiciable à sa réputation et à lui-même. Richard est fait de certitude, pas moi. Je le rend heureux mais pas comme je le veux moi. Je me reproche d’être très peu au courant de la vie conflictuelle que vit Richard tous sens en alerte. Lui, il ne s’en aperçoit même pas d’après lui la vie rayonne de moi. »

Sofia debout avec son neveu était prête à prendre congé de lui .

La porte refermée derrière lui, elle déclara au jeune garçon :

- Faisons nos valises, nous partirons très tôt demain à Florence.

Kent, sautant son dîner, ne dormit pas la nuit. Relisant sans cesse le feuillet de Koslic : « Paolina est morte sachant à quoi s’en tenir sur moi. Son voyage est le dernier avertissement que j’ignorais. Son retour, mon bavardage, démontrait malheureusement ma bêtise et son appel de l’ultime heure ne réussit pas à me remettre sur la voie. Durant quatre années, j’eu le sentiment d’avoir manqué un sillon, la vérité était toute autre. Je devrais faire aveu d’échec. Peut-être une lueur de compréhension se serait manifestée alors ! Pensa-t-il en éteignant la lampe de chevet. Notre relation de couple entrait dans une nouvelle phase et mon inconscience l’amena conséquemment à réfléchir pour deux. »

A huit heure et demi, Sacci vit arriver Kent :

- Monsieur, j’ai une enveloppe pour vous de la part de madame Koslic, dit-il.

Incrédule Kent fit :

- Madame Koslic ??

- Oui ,elle est partie il y a une heure .

Il fut aussitôt interrompu :

- Où ?

- Je l’ignore monsieur, fit Sacci. Une volumineuse enveloppe carrée. Il voulut l’ouvrir dans sa chambre :

- Voulez-vous me servir mon petit déjeuner là haut ?

- Ce sera fait monsieur, dit le récéptionniste.

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