قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
السبت, 18 تشرين2/نوفمبر 2017 07:15

Fondaco dei Turchi 112

كتبه  Afaf Aniba
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-Pour l’instant un groupe restreint en a connaissance et j’ai demandé à maître Esconi de ne pas la mentionner au tribunal.

-Oui Eduardo, peut-on en retour empêcher les fuites ? Non, tu vois nous allons être confronté à un véritable casse-tête, nous ne pourrons en aucune manière nous résoudre à perdre ce qu’on a acquit avec un si grand acharnement et des sacrifices de toute sorte. Déclara Murad.

-Murad,  je vous connais vous n’êtes pas le genre à laisser tomber, l’aventure qu’a entreprise votre ancêtre demeurera inachevé tant que vous n’aurez pas terminé ce qu’il a commencé, il est temps. Fit Abrini en demandant l’addition, ils avaient bu leur refraichissement sans s’en apercevoir.

Dans le hall du palais de justice de Venise, des flashs les accueillirent. Les agents de sécurité firent reculer les paparazzi, Murad Omarti pénétra à la suite de son ami Italien dans la grande salle de jugement. Près de colonne monumentale, il rencontra monsieur Fauden. L’air franc. il lui tendit la main, celui-ci la serra sans dire un mot. Se retournant, il chercha des yeux Abrini, celui-ci debout devant une rangée de table lui désigna sa droite , il se faufila dans une assistance nombreuse :

-On cherche votre sœur. Chuchota le jeune avocat en lui montrant du menton les caméramen et les photographes.

S’asseyant, Omarti suivait la partie adverse rejoint par d’autres personnes. Fauden fut pris à part par son avocat, les voix emplissaient l’espace du tribunal. Calmement, Eduardo Abrini rangeait ses dossiers devant lui, il mit sous les yeux de son client une série d’instantané du fondaco et du trèsor, il avait écrit au-dessous leur provenance, deux grands journaux de la péninsule. Le remue ménage prit soudain fin à la sortie des gens de la presse et de curieux qui n’avaient pas trouvés de place, tous les bancs étaient occupés, une voix forte scanda :

-Mesdames et messieurs levez-vous la cour !

D’un seul mouvement l’assistance se mit debout, le juge Pietro Annorique et deux de ses aides apparurent sur l’estrade. Chacun alla vers son siège au dossier de velours pourpre.

D’un geste du juge, tout le monde se rassit, donnant la parole au greffier celui-ci en mot concis lut le texte de la plainte de Franco Fauden, Murad en habitué des tribunaux écoutait en connaisseur, le juge Annorique fit en préambule :

-Je voudrais entendre les avocats et leurs clients l’un après l’autre commencons par monsieur Fauden, monter je vous prie à la barre.

L’autre obéit, Murad tout oreille accorda une attention accrue aux paroles du conservateur du patrimoine de Venise.

En dix minutes l’homme développa ses reproches et ses craintes, revendiquant avec ténacité le coffre de Selim Pasha et son contenu.

-Il n’est pas normale que Venise en soit dépouillé, ce coffre gisait dans notre sol depuis plus de deux siècles, si dans un délai de quinze ans après son enfouissement  il n’a pas été réclamé ou découvert par les descendants de Selim Pasha, il revient de droit à notre cité.

Murad posant son regard sur l’assistance, guettait une réaction. Des hochements de tête  et des murmures d’approbation à peine percetible se firent ici et là :

-C’est votre tour Murad.

La voix de son ami le fit sursauter, il du se lever et monter à la barre :

-Qu’avez-vous à nous dire Monsieur Omarti ?

Il eut instantanément entre les yeux le jour où Omurza Omarti avaient reçus leur mère défunte, Selma et lui, c’était un jour neigeux . Ils s’étaient assis en demi cercle autour de la grande mère, la belle voix distinguée résonnait à ses oreilles :

-Ce dont j’ai à vous parler aujourd’hui est de vous mettre au fait d’un engagement qu’aucun Omarti jusqu’ici n’a réussi à tenir pleinement, c’est votre tour d’être mis à l’épreuve !

Eduardo Abrini fut surpris en écoutant  Murad, son ami n’était pas seulement un excellent avocat, c’était aussi un extraordinaire narrateur. Un coup d’œil autour de lui avait suffi.   Prenant de rapide note comme il l’avait fait pour le conservateur du patrimoine de la ville, il eut vite fait d’abandonner son stylo, se sentant attiré littéralement vers un monde qui lui était tout à fait inconnu. Le juge Pietro Annorique prêtait une oreille attentionné au récit de Murad Omarti, ne pouvant s’empêcher de penser «  La magie de l’Orient est plus que jamais agissante. »

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