قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
الأحد, 17 كانون1/ديسمبر 2017 10:14

Fondaco dei Turchi 116

كتبه  Afaf Aniba
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La gravité qui se peignit sur le visage de son neveu lui faisait peur très peur :

-Est-ce que ce serait déplacé de ma part si je voulais savoir le contenu de cette lettre ? Fit-elle.

-Non, Tia en faite j’aurais dû te prévenir la première, je l’aurais fait sûrement si j’ai eu le temps seulement …il s’interrompit, se levant il s’éloigna vers la cheminée, anxieuse elle attendait. Se retournant vers elle, il su à son attitude qu’elle avait deviné à moitié la vérité, de ne pas la voir le presser de parler en était l’aveu :

-Tia Madelina quoi que tu puisses dire ou faire après que tu m’ais écouté sache que je t’aimerais toujours et  jamais je ne cesserai de t’honorer dans ma mémoire et mon cœur.       

Soudain levant les deux mains, la vieille dame balbutia :

-Ne dis rien maintenant … Je veux avoir une contenance en accueillant tes invités, je monte me changer .

Il s’avanca et se penchant sur elle, il la maintint assise par les épaules :

-Je suis désolé Chère Tia tu dois m’écouter maintenant, je n’aimerais pas te brusquer devant les Omarti .

Selma Omarti la main sur la poignée du se raviser, le téléphone résonnait derrière eux, elle lança à son frère :

-Un moment !

Murad debout sur l’embarcadère se résigna à attendre :

-Je vais bien monsieur Pezrat et vous ?Fit la jeune femme.

-Je ne me plains pas, je viens de vous envoyer par e-mail le fruit des investigations de Najib Bectar de notre ambassade à Amesterdam, il a joint ses coordonnés, vous pouvez le contacter directement ainsi.

-Magnifique ! Y’a-t-il du nouveau d’après vous monsieur ?

-Oui, dans la mesure où Horst Field est mort en mer du côté de Sumatra, atteint par le typhus il succomba bien avant qu’il n’accoste dans l’un des ports de l’île soumit à la quarantaine, il fut inhumé en mer .Répondit le conseiller de presse Turc.

-Oh ! Ne pu s’empêcher de dire Selma .La piste tourne court !

-Non, ne sautez pas trop vite aux conclusions, prenez connaissance du travail de Bectar d’abord, je vous laisse à présent.

En raccrochant elle vérifia l’heure, la nuit était tombée et un dîner à Venise ne doit pas être trop tardif.

Rejoignant son frère, elle lui rapporta les dires de Pezrat :

-Eh bien ! Tu ne chômes pas Selma.

-J’aurais voulu remettre à plus tard ce dîner, j’ai la conviction que rien n’est encore décidé.

D’un coup de main, il vira de bord :

-Ma sœur il est très probable que nous quittons le pays au plus tard demain soir, donc rien ne doit être reporté.

Elle ne répondit pas, la longue trainée d’eau derrière la vedette s’élargissait au gré du rio, d’autres vaporetto et embarcation les croisaient de temps en temps, dans l’obscurité Murad essayait de se repérer, un panneau annonçant la prochaine bifurcation lui remit en mémoire un certain canal bordé de lampadaire rouge et or « Il vient à notre droite » Il avait vu juste, Selma au ralentissement de la vedette ramassa les pans de sa longue tenue de circonstance. Enjambant lentement le bastingage, elle se tint droite sur le pontile mouvant, le Palazzo Del Mare brillait de ses milles feux .

Dans les mains son sac orné de broderie fine, elle regardait autour d’elle, au moment où elle se tournait vers la lourde porte d’entrée qui s’ouvrait. Elle eut le sentiment d’avoir distingué de l’autre côté un scintillement puissant :

-Vous êtes ponctuels, madame Madelina ma tante apprécie cela.

Selma venant après son frère s’immobilisa un bref instant devant Paolo :

-Vous êtes les bienvenus, entrez je vous en prie.

Madelina Acciouto en serrant la main de son invitée éprouva une sensation bizarre, autant elle se sentait attirée par cette jeune inconnue musulmane autant elle avait de l’antipathie pour elle. Perspicace la jeune femme avait perçue dans l’attitude de son hôtesse un tiraillement : « Mon Dieu que faisons-nous là ? » Se demanda t-elle en son for intèrieur. Dirigé vers le salon d’apparat, ils s’assirent et aussitôt on parla du trèsor « Tout ici est somptueux, cependant je sens que Paolo Di Balme cadre peu avec tout cela. » Pensait à part elle Selma Omarti.

-Mademoiselle vous semblez ailleurs. Fit soudain Madelina.

Levant les yeux sur elle, Omarti parla franchement :

-Je suis à la tête d’une entreprise qui me dépasse, je commence à le réaliser maintenant.

-En êtes-vous sûre ? S’enquit la vieille dame .Une longue pause s’ensuivit, enfin la voix de Selma vint claire :

-Jusque là je menai de front toutes les étapes, à présent je dois être épauler par un grand nombre de personne et de parti, cela ne sera pas facile.

La question de sa tante laissa Paolo perplexe :

-Vous êtes tout entière dans votre thèse, supposer que vous serez sollicité sur un autre front que ferez-vous ?

Avant qu’elle n’eut l’opportunité de répondre, Aldo le maître d’hôtel apparut dans son uniforme des grandes occasions :

-Madame est servie.

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