قال الله تعالى

 {  إِنَّ اللَّــهَ لا يُغَيِّــرُ مَـا بِقَــوْمٍ حَتَّــى يُـغَيِّـــرُوا مَــا بِــأَنْــفُسِــــهِـمْ  }

سورة  الرعد  .  الآيـة   :   11

ahlaa

" ليست المشكلة أن نعلم المسلم عقيدة هو يملكها، و إنما المهم أن نرد إلي هذه العقيدة فاعليتها و قوتها الإيجابية و تأثيرها الإجتماعي و في كلمة واحدة : إن مشكلتنا ليست في أن نبرهن للمسلم علي وجود الله بقدر ما هي في أن نشعره بوجوده و نملأ به نفسه، بإعتباره مصدرا للطاقة. "
-  المفكر الجزائري المسلم الراحل الأستاذ مالك بن نبي رحمه الله  -

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rasoulallahbinbadisassalacerhso  wefaqdev iktab
السبت, 14 آذار/مارس 2020 18:36

Vers Bethléem Episode 15

كتبه  Afaf Aniba
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Son associé arriva moins de dix minutes après. Ajustant sa cravate, Issam me pressa longuement les mains :

-Nous ne renoncerons jamais Dhoha. Avait-il articulé en plantant son regard dans le mien, je le lui assurai la voix vibrante, que vous dire ?

Une courte pause se fit :

-Je l’accompagnai jusqu'à la voiture de Bezigh tout en priant en mon for intérieur. Levant les bras, il m’avait dit gaiement :

-A ce soir avec l’aide de Dieu.

Je ne pus lui répondre tant ma gorge était nouée, j’avais la chair de poule. Le moteur vrombissant le véhicule s’était éloigné en roulant lentement, j’agitai les mains à mon tour, ils retombèrent une fois le vision de Issam à la vitre de la portière disparut complètement au coin de la rue. Je dus pour moi-même et pour mon beau-père feindre une insouciance que je ne ressentais pas, je réussis à demi car les petites choses de la vie vous happent entièrement. Quoique je fis, je rentrai tard ce jour là. Saleh Naïli m'accueillit avec un sourire courageux :

- Pas encore de nouvelle .

Je dus m’occuper, je préparais le dîner. Je coupai le pain, quand le téléphone retentit soudain. Je sautais littéralement sur l’appareil. C’était Bezigh, ils avaient quitté ensemble le commissariat, mon mari avait préféré rentrer par ses propres moyens. Nous devrions patienter, rassurés nous attendîmes sagement. Notre attente dura toute la nuit, au petit matin à 6h nous nous présentâmes au commissariat communal, c’était là où il s’était rendu :

-Mon époux n’est pas revenu de son entrevue ici. Avais-je scandé le ton terrible.

Quelques-uns uns attestèrent qu’il avait été vu quittant l’enceinte en compagnie de son associé, de là plus personne ne s’est soucié de la  direction qu’il avait prit. Je réclamais des recherches, cela ne relevait pas de leur prérogative !!

Imaginez, je devais m’adressai au commissariat de mon quartier. Je le fis sur le champs, Bezigh vint aux nouvelles, il fut stupéfait de la tournure des événements :

-On fit signifier à Issam de se tenir tranquille tant que le tribunal prenait en charge l’affaire qui l’opposait à la mairie, aucune allusion sans preuve à l’appui n’était toléré et était passible d’un emprisonnement et d’une poursuite en diffamation. C’est en clair, le contenu de la rencontre avec l’inspecteur général Mouchir. Nous avait révélé ce dernier puis reprenant fermement il dit :

-Nous allons organiser une vaste chaîne de recherche, que Dieu nous vienne en aide seulement .

En moins de quelques heures nos deux familles, nos amis, nos proches, nos alliés, mes étudiants, les clients de l’étude nombre de sympathisants et d’anonyme furent mobilisés. On ratissèrent la vieille et nouvelle ville deux jours passèrent, au troisième jour, je souffrais de maux de tête de vomissement et de haut de cœur tenant à poursuivre les recherches. Je m’évanouissais au pied d’un vieux escalier de la rue Koutoub, mon médecin m’annonça un diagnostic affolant :

-Vous êtes enceinte de trois semaines madame Dhoha .

.Je pleurais de dépit et de chagrin, Issam n’était pas là à mes côtés à se réjouir de la merveilleuse promesse J’eus un affaiblissement qui me retint au lit pendant vingt-quatre heure, je me relevai. Issam comptait su moi , je devais le retrouver vivant, la police daigna se manifester. Ses gens travaillaient d’arrache-pied à repérer le disparu, j’en voulais une preuve concrète. Ils mirent leurs chiens loups sur les traces de mon mari, ce jour là, j’apportais un soulier de Issam. Deux chiens dressés museau au sol et après quelques tâtonnements nous conduisirent à une rue malfamé, déserte et étroite  elle aboutissait sur un cul de sac :

-Qu’est-il venu faire ici ? M’étais-je demandé souvent et puis circonstance troublante Bezigh est sûr de l’avoir vu enfiler une rue donnant sur l’avenue principale de la ville basse, pourquoi avoir fait demi-tour ? Il s’était volatilisé dans cette méchante rue, où était-il ?

Aucune réponse plausible, de conjecture en conjecture nous nous égarions, pendant ce temps mon frère aîné et le cadet de Issam campaient sur notre terrain.

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